Ces derniers temps, le Parti Démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci-Rda) a été secoué par un grand vent de débauchage de certains de ces cadres. Ils ont tous rejoint le Front Populaire Ivoirien (Fpi), parti au pouvoir. Par conviction ou par intérêt, ces débauchés ont trahi en agissant ainsi. Parmi eux, il faut citer des femmes qui ont tout eu du Pdci-Rda.
Laurent Gbagbo et le Fpi, depuis leur arrivée au pouvoir, se sont adonné à des pratiques peut honorables. Leur règne a surtout été marqué par des fausses promesses, la destruction de l’école ivoirienne, l’appauvrissement du peuple, la destruction des édifices publics trouvés sur place, l’inauguration d’infrastructures déjà bâties, la baisse considérable des prix des matières premières (café, cacao, coton, anacarde), mais surtout, la guerre qui a éclaté deux ans après leur accession au pouvoir. Les refondateurs se sont illustrés négativement aux yeux des ivoiriens. Sous la refondation, les ivoiriens ont connu les déchets toxiques, l’affaire de placement d’argent, les charniers, les détournements dans la filière café-cacao, l’assassinat de journalistes (Guy André Kieffer et Jean Hélen…). Avec les refondateurs, on aura tout vu. Des films à caractère pornographique tourné dans les bureaux, des élèves qui chicotent les enseignants. Sous la refondation, le désordre s’est véritablement installé dans un pays où les ivoiriens vivaient en paix, où le respect était inculqué aux uns et aux autres. C’est encore sous la refondation que malheureusement, les ivoiriens vont assister visiblement à une transhumance politique due à l’achat de conscience. Cette transhumance est le résultat d’un débauchage opéré nuit et jour par Laurent Gbagbo, son épouse Simone Gbagbo, Affi N’gessan Pascal et certains de leurs camarade.
Les premières victimes
La machine de débauchage mise en place par le Fpi a véritablement avalé des hommes de tous les partis politiques. Le Pdci-Rda est le parti où Laurent Gbagbo et ses hommes ont le plus puisé. Parmi les débauchés, les hommes sont plus nombreux que les femmes. Pour des problèmes de personnes, pour de l’argent ou encore pour des problèmes de leadership, des militants du Pdci-Rda ont, de manière déshonorable, quitté leur parti pour se loger dans le parti où une certaine classe d’individus opportunistes, décadents, irresponsables, largement improductifs, impudiquement corrompus et idéologiquement stériles, hypothèquent l’avenir de la jeunesse ivoirienne. N’Zi Paul David, N’Dri Appolinaire, Gnamien Yao, Doulaye Coulibaly, Issa Malick Coulibaly, Laurent Dona Fologo, Sery Gnoléba, Koné Dossongui, sont partis. En procédant ainsi, Laurent Gbagbo s’est rendu compte des torts causés par ses camarades à la population, il s’est aussi rendu compte de l’incapacité de ses camarades du Fpi à gérer le pouvoir d’Etat et leur incapacité à mener sa campagne pour les élections présidentielles. Laurent Gbagbo sait que le Fpi et lui-même ont détourné les dénier publics, appauvrissant ainsi la majorité des ivoiriens. Aujourd’hui, tout le monde sait qu’en Côte d’Ivoire, il suffit d’avoir une influence politique pour être riche. Quelle honte !
Ces femmes qui font honte
Si les hommes du Pdci-Rda ont été les plus nombreux à s’illustrer de la piètre façon face aux manœuvres mesquines de Laurent Gbagbo et le Fpi, ça ne devait pas être le cas chez les femmes. S’il est vrai qu’elles ne sont pas nombreuses à céder aux chantages, aux propositions des frontistes, des femmes ont quand même laissé leur honneur pour s’en aller du parti. Or, une femme, c’est l’honneur, la dignité, l’amour et surtout l’honnêteté. Voici ce qui caractérise la femme. Et pourtant, Bro Grégbé Géneviève et Lagou Henriette, toutes les deux qui ont tout reçu du Pdci-Rda sont allées au Fpi. Quelle honte ! C’est grâce au Pdci-Rda que ces deux traîtres sont devenus ministre, qu’elles ont été connues du grand public. Ces deux femmes qui, jusque là, ne se sont pas affichées comme militantes du Fpi étaient très proches du couple Bédié. Lagou Henriette a même été porte-sac de Madame Bédié avant le coup d’Etat de 1999. Elle était même considérée comme une des filles du couple Bédié. Aujourd’hui, à cause de l’argent des frontistes, c’est elle qui se dresse maladroitement contre le président Bédié dans sa région. Quelle honte ! Bro Grégbé Géneviève doit savoir qu’entre le Pdci-Rda et le Fpi, c’est le Fpi qui a signé un pacte avec le diable. Avec le Pdci-Rda, c’est la paix, le sang ne coule pas partout comme quand Laurent Gbagbo se déplace. Avec Aimé Henri Konan Bédié, c’est le droit à la vie, on ne tue pas les journalistes et le peuple avec, les déchets toxiques, il n’ya pas d’escadrons de la mort. Bro Grégbé, tout comme Lagou Adjoua Henriette font honte à la gente féminine. Pour les hommes, on peut comprendre et pardonné, mais, une femme traitre, malhonnête, et indigne, c’est inacceptable dans la société, surtout dans les traditions africaines.
Etienne Lemistick
Laurent Gbagbo et le Fpi, depuis leur arrivée au pouvoir, se sont adonné à des pratiques peut honorables. Leur règne a surtout été marqué par des fausses promesses, la destruction de l’école ivoirienne, l’appauvrissement du peuple, la destruction des édifices publics trouvés sur place, l’inauguration d’infrastructures déjà bâties, la baisse considérable des prix des matières premières (café, cacao, coton, anacarde), mais surtout, la guerre qui a éclaté deux ans après leur accession au pouvoir. Les refondateurs se sont illustrés négativement aux yeux des ivoiriens. Sous la refondation, les ivoiriens ont connu les déchets toxiques, l’affaire de placement d’argent, les charniers, les détournements dans la filière café-cacao, l’assassinat de journalistes (Guy André Kieffer et Jean Hélen…). Avec les refondateurs, on aura tout vu. Des films à caractère pornographique tourné dans les bureaux, des élèves qui chicotent les enseignants. Sous la refondation, le désordre s’est véritablement installé dans un pays où les ivoiriens vivaient en paix, où le respect était inculqué aux uns et aux autres. C’est encore sous la refondation que malheureusement, les ivoiriens vont assister visiblement à une transhumance politique due à l’achat de conscience. Cette transhumance est le résultat d’un débauchage opéré nuit et jour par Laurent Gbagbo, son épouse Simone Gbagbo, Affi N’gessan Pascal et certains de leurs camarade.
Les premières victimes
La machine de débauchage mise en place par le Fpi a véritablement avalé des hommes de tous les partis politiques. Le Pdci-Rda est le parti où Laurent Gbagbo et ses hommes ont le plus puisé. Parmi les débauchés, les hommes sont plus nombreux que les femmes. Pour des problèmes de personnes, pour de l’argent ou encore pour des problèmes de leadership, des militants du Pdci-Rda ont, de manière déshonorable, quitté leur parti pour se loger dans le parti où une certaine classe d’individus opportunistes, décadents, irresponsables, largement improductifs, impudiquement corrompus et idéologiquement stériles, hypothèquent l’avenir de la jeunesse ivoirienne. N’Zi Paul David, N’Dri Appolinaire, Gnamien Yao, Doulaye Coulibaly, Issa Malick Coulibaly, Laurent Dona Fologo, Sery Gnoléba, Koné Dossongui, sont partis. En procédant ainsi, Laurent Gbagbo s’est rendu compte des torts causés par ses camarades à la population, il s’est aussi rendu compte de l’incapacité de ses camarades du Fpi à gérer le pouvoir d’Etat et leur incapacité à mener sa campagne pour les élections présidentielles. Laurent Gbagbo sait que le Fpi et lui-même ont détourné les dénier publics, appauvrissant ainsi la majorité des ivoiriens. Aujourd’hui, tout le monde sait qu’en Côte d’Ivoire, il suffit d’avoir une influence politique pour être riche. Quelle honte !
Ces femmes qui font honte
Si les hommes du Pdci-Rda ont été les plus nombreux à s’illustrer de la piètre façon face aux manœuvres mesquines de Laurent Gbagbo et le Fpi, ça ne devait pas être le cas chez les femmes. S’il est vrai qu’elles ne sont pas nombreuses à céder aux chantages, aux propositions des frontistes, des femmes ont quand même laissé leur honneur pour s’en aller du parti. Or, une femme, c’est l’honneur, la dignité, l’amour et surtout l’honnêteté. Voici ce qui caractérise la femme. Et pourtant, Bro Grégbé Géneviève et Lagou Henriette, toutes les deux qui ont tout reçu du Pdci-Rda sont allées au Fpi. Quelle honte ! C’est grâce au Pdci-Rda que ces deux traîtres sont devenus ministre, qu’elles ont été connues du grand public. Ces deux femmes qui, jusque là, ne se sont pas affichées comme militantes du Fpi étaient très proches du couple Bédié. Lagou Henriette a même été porte-sac de Madame Bédié avant le coup d’Etat de 1999. Elle était même considérée comme une des filles du couple Bédié. Aujourd’hui, à cause de l’argent des frontistes, c’est elle qui se dresse maladroitement contre le président Bédié dans sa région. Quelle honte ! Bro Grégbé Géneviève doit savoir qu’entre le Pdci-Rda et le Fpi, c’est le Fpi qui a signé un pacte avec le diable. Avec le Pdci-Rda, c’est la paix, le sang ne coule pas partout comme quand Laurent Gbagbo se déplace. Avec Aimé Henri Konan Bédié, c’est le droit à la vie, on ne tue pas les journalistes et le peuple avec, les déchets toxiques, il n’ya pas d’escadrons de la mort. Bro Grégbé, tout comme Lagou Adjoua Henriette font honte à la gente féminine. Pour les hommes, on peut comprendre et pardonné, mais, une femme traitre, malhonnête, et indigne, c’est inacceptable dans la société, surtout dans les traditions africaines.
Etienne Lemistick
