Je l’ai souventes fois dit, si chacun s’appliquait à faire son travail pour lequel il est payé dans l’administration comme Monsieur Ibrahim SY SAVANE, la Côte d’Ivoire ferait un grand pas en avant. C’est pendant les jours de réjouissances qu’on évide tous les problèmes.«Le Fonds de soutien et de développement de la presse (F.S.D.P) a, pour objet, de faciliter, par son concours, la mise en œuvre des interventions structurelles de développement du secteur de la presse et de l’audiovisuel, afin d’assurer aux entreprises des secteurs concernés, l’égalité et la libre concurrence dans le cadre de la mission d’intérêt général de la presse». Le Groupement des éditeurs de presse (GEPCI) voudrait prendre le Conseil de gestion du Fonds de soutien et de développement de la presse et la direction exécutive au mot et à la lettre et leur soumettre ses préoccupations sous forme de doléances:
1. que le Conseil de gestion veuille à ce que le Fonds de soutien et de développement de la presse soit annexé au budget de l’Etat de la République de Côte d’Ivoire. Ainsi, par souci de transparence, saura-t-on la somme allouée aux media pour leur fonctionnement
2. que le Conseil de gestion revoit les conditionnalités d’éligibilité. Dix-neuf (19) conditionnalités, c’est contraignant et fastidieux. Les organisations patronales et syndicales souhaitent vivement qu’il ait plus d’ouverture et de souplesse afin que beaucoup d’entreprises et associations soient éligibles au Fonds.
3. que le Conseil s’attelle à ce que la taxe sur la publicité soit effectivement reversée au F.S.D.P et qu’également les prélèvements effectués par le Conseil national de la communication audiovisuelle sur les fréquences des radios, soient aussi versés au Fonds de soutien et de développement de la presse
4. qu’il soit alloué aux associations et entreprises de presse et de communication audiovisuelle des aides directes, pour ne pas dire de l’argent frais. Car, cette méthode du Conseil de gestion qui consiste à acheter du matériel et à l’imposer, pratiquement, aux bénéficiaires, infantilise les Chefs d’entreprises.
5- il est impératif que le F.D.S.P intervienne vite et maintenant dans l’impression et la distribution de nos journaux, cela soulagerait plus les trésoreries trop tendues des entreprises.
6- Que les frais de fonctionnement des organisations du secteur de la communication soient revus à la hausse. Car ces structures sont vitales et constituent la courroie nécessaire de transmission.
L’ensemble des organisations du secteur de la Communication et les entreprises, durant ces dernières années, surtout pendant la crise que traverse notre pays, ont relativement joué leur partition. La presse ivoirienne a été dans et autour de tout évènement majeur dans ce pays. Le climat d’apaisement que tous s’accordent à souligner aujourd’hui est du fait aussi de la presse. La presse est en mission. Mais on attend d’elle des résultats mieux que ceux d’aujourd’hui. Patrons de presse et journalistes en sommes tous conscients. Et des gestes salvateurs, comme ceux d’aujourd’hui vont nous propulser demain, j’en suis sûr, vers une presse libre, responsable et soucieuse du développement de la Côte d’Ivoire. De tels actes aussi multipliés pourront donner un coup d’accélérateur à l’amélioration du statut social des journalistes.
1. que le Conseil de gestion veuille à ce que le Fonds de soutien et de développement de la presse soit annexé au budget de l’Etat de la République de Côte d’Ivoire. Ainsi, par souci de transparence, saura-t-on la somme allouée aux media pour leur fonctionnement
2. que le Conseil de gestion revoit les conditionnalités d’éligibilité. Dix-neuf (19) conditionnalités, c’est contraignant et fastidieux. Les organisations patronales et syndicales souhaitent vivement qu’il ait plus d’ouverture et de souplesse afin que beaucoup d’entreprises et associations soient éligibles au Fonds.
3. que le Conseil s’attelle à ce que la taxe sur la publicité soit effectivement reversée au F.S.D.P et qu’également les prélèvements effectués par le Conseil national de la communication audiovisuelle sur les fréquences des radios, soient aussi versés au Fonds de soutien et de développement de la presse
4. qu’il soit alloué aux associations et entreprises de presse et de communication audiovisuelle des aides directes, pour ne pas dire de l’argent frais. Car, cette méthode du Conseil de gestion qui consiste à acheter du matériel et à l’imposer, pratiquement, aux bénéficiaires, infantilise les Chefs d’entreprises.
5- il est impératif que le F.D.S.P intervienne vite et maintenant dans l’impression et la distribution de nos journaux, cela soulagerait plus les trésoreries trop tendues des entreprises.
6- Que les frais de fonctionnement des organisations du secteur de la communication soient revus à la hausse. Car ces structures sont vitales et constituent la courroie nécessaire de transmission.
L’ensemble des organisations du secteur de la Communication et les entreprises, durant ces dernières années, surtout pendant la crise que traverse notre pays, ont relativement joué leur partition. La presse ivoirienne a été dans et autour de tout évènement majeur dans ce pays. Le climat d’apaisement que tous s’accordent à souligner aujourd’hui est du fait aussi de la presse. La presse est en mission. Mais on attend d’elle des résultats mieux que ceux d’aujourd’hui. Patrons de presse et journalistes en sommes tous conscients. Et des gestes salvateurs, comme ceux d’aujourd’hui vont nous propulser demain, j’en suis sûr, vers une presse libre, responsable et soucieuse du développement de la Côte d’Ivoire. De tels actes aussi multipliés pourront donner un coup d’accélérateur à l’amélioration du statut social des journalistes.