La vérité sur les morts en cascade au stade Félix Houphouët Boigny commence à pointer du jour. Et contrairement à des langues qui avaient cité l’Imprimerie DKG appartenant à dame Gossio Marcel, comme responsable des billets parallèles, l’enquête des experts commis à la tache, révèle que l’épouse du Directeur général du Port Autonome d’Abidjan et l’imprimerie DKG sont ni de près comme loin mêlé à ce scandale.
On se souvient le 27 mars 2009, la Côte d’Ivoire a vécu un dimanche noir avec 19 personnes décédées par bousculades au stade Félix Houphouët au cours du match de football opposant la Côte d’Ivoire au Malawi. Après une minutieuse enquête de l’appareil judicaire ivoirien, il a été démontré que ces douloureux évènements sont arrivés par la faute d’une vente de tickets parallèles d’entrée audit stade. Poursuivant leurs enquêtes, les hommes du Procureur Tchimou Raymond (Procureur de la République près le Tribunal de Première instance d’Abidjan Plateau) ont pu dégager les responsabilités des uns et des autres. Et celles-ci sont claires et unanimes pour que dire l’imprimerie DKG qu’on dit appartenir à Mme Gossio n’a jamais confectionné les billets d’entrée au stade. Les mauvaises langues ont vite fait de rapprocher ladite imprimerie au sieur Kacou Anzouan, responsable de la FIF et cadre au PAA, principal responsable cité dans ledit scandale et la confection des billets de la mort. A cet effet d’ailleurs, ce dernier sera interpellé puis relâché. Aujourd’hui, pendant que les nombreuses familles éplorées ont commencé à oublier progressivement ce macabre souvenir, on veut réveiller les démons de la mort pour accuser vainement dame Gossio et l’imprimerie DKG. Qui en réalité ne sont ni de près comme de loin, responsables de ces douloureux évènements. Comme quoi la vérité finit toujours par triompher du mensonge.
Jules Bossiehi
On se souvient le 27 mars 2009, la Côte d’Ivoire a vécu un dimanche noir avec 19 personnes décédées par bousculades au stade Félix Houphouët au cours du match de football opposant la Côte d’Ivoire au Malawi. Après une minutieuse enquête de l’appareil judicaire ivoirien, il a été démontré que ces douloureux évènements sont arrivés par la faute d’une vente de tickets parallèles d’entrée audit stade. Poursuivant leurs enquêtes, les hommes du Procureur Tchimou Raymond (Procureur de la République près le Tribunal de Première instance d’Abidjan Plateau) ont pu dégager les responsabilités des uns et des autres. Et celles-ci sont claires et unanimes pour que dire l’imprimerie DKG qu’on dit appartenir à Mme Gossio n’a jamais confectionné les billets d’entrée au stade. Les mauvaises langues ont vite fait de rapprocher ladite imprimerie au sieur Kacou Anzouan, responsable de la FIF et cadre au PAA, principal responsable cité dans ledit scandale et la confection des billets de la mort. A cet effet d’ailleurs, ce dernier sera interpellé puis relâché. Aujourd’hui, pendant que les nombreuses familles éplorées ont commencé à oublier progressivement ce macabre souvenir, on veut réveiller les démons de la mort pour accuser vainement dame Gossio et l’imprimerie DKG. Qui en réalité ne sont ni de près comme de loin, responsables de ces douloureux évènements. Comme quoi la vérité finit toujours par triompher du mensonge.
Jules Bossiehi