Le parti ivoirien des travailleurs s’est prononcé, hier sur la fraude à la CEI.
«Depuis quelques jours, le ton monte entre le RHDP et le camp présidentiel qui s’accusent mutuellement de velléités de fraude sur la liste électorale. La tournure que prennent ces événements inquiète fortement le PIT. Allons-nous nous entredéchirer aujourd’hui comme hier avec cette guerre qui n’en finit pas ?» C’est en ces termes que s’est interrogé le président du Parti ivoirien des travailleurs (PIT), Francis Wodié, face à la crise de fraude à la CEI. Pour le candidat du PIT, les différents acteurs doivent calmer le jeu, s’ils veulent sauvegarder un processus déjà trop fragile. Appelant les uns et les autres à user de dialogue et de concertation, seules armes capables de faire aboutir le processus de paix en cours. «Le moment est venu de calmer le jeu. La confusion et la violence n’ont jamais rien réglé. Le pays a déjà trop souffert de cette sale guerre pour ne pas avoir à en rajouter. C’est dans la concertation et la concorde que nous pouvons régler les problèmes d’aujourd’hui et de demain», a-t-il suggéré. Estimant que «le sort de la Nation en dépend (…) L’intérêt de la nation, en toute circonstance et dans tous les cas, doit prévaloir sur nos intérêts propres, personnels et partisans», a soutenu le président Wodié.
J.S.K
«Depuis quelques jours, le ton monte entre le RHDP et le camp présidentiel qui s’accusent mutuellement de velléités de fraude sur la liste électorale. La tournure que prennent ces événements inquiète fortement le PIT. Allons-nous nous entredéchirer aujourd’hui comme hier avec cette guerre qui n’en finit pas ?» C’est en ces termes que s’est interrogé le président du Parti ivoirien des travailleurs (PIT), Francis Wodié, face à la crise de fraude à la CEI. Pour le candidat du PIT, les différents acteurs doivent calmer le jeu, s’ils veulent sauvegarder un processus déjà trop fragile. Appelant les uns et les autres à user de dialogue et de concertation, seules armes capables de faire aboutir le processus de paix en cours. «Le moment est venu de calmer le jeu. La confusion et la violence n’ont jamais rien réglé. Le pays a déjà trop souffert de cette sale guerre pour ne pas avoir à en rajouter. C’est dans la concertation et la concorde que nous pouvons régler les problèmes d’aujourd’hui et de demain», a-t-il suggéré. Estimant que «le sort de la Nation en dépend (…) L’intérêt de la nation, en toute circonstance et dans tous les cas, doit prévaloir sur nos intérêts propres, personnels et partisans», a soutenu le président Wodié.
J.S.K
