Le procureur de la République Tchimou Raymond, chargé d’auditionner les structures techniques en charge des élections, dans le cadre de l’enquête sur l’établissement d’une liste parallèle à la CEI, a commencé à entendre les responsables de l’INS, de l’ONI, de la CNSI, tandis que la Sagem sécurité refuse de répondre à la convocation de la police criminelle. Interrogé sur la question, Tchimou Raymond s’explique.
« Nous sommes dans le cadre d’une enquête et on va doucement. Ce n’est pas parce que quelqu’un n’a pas répondu à la première convocation que rapidement, je vais me mettre en marche pour aller l’arrêter. Je peux estimer que nous avons déjà les données et nous n’avons pas besoin d’aller loin. Dans le cadre de la Sagem, nous avons un certain nombre d’informations, on n’a tout ce qu’il faut. Par la suite on verra si c’est nécessaire d’entendre les membres de Sagem en qualité de témoins. Si ce n’est pas nécessaire, on laisse tomber. Ceux pour lesquels une audition est nécessaire et qui ne veulent pas répondre, là j’ai tout mon arsenal pour les inviter à être présents. Mais dans le cadre de cette enquête, il serait bien qu’il y ait une bonne collaboration. Que les gens n’aient pas peur. Je sais que certains ont été convoqués, ils ont eu peur et ont décidé de prendre des avocats pour prendre des précautions. Mais nous avons tous les moyens pour les contraindre afin qu’ils viennent répondre à la convocation. J’ai cru entendre que beaucoup n’ont rien à se reprocher. Donc quand on n’a rien à se reprocher, on répond tranquillement aux questions et c’est technique. Il faut qu’il ait une bonne collaboration, que tous les témoins puissent répondre aux convocations. Déjà certains sont venus quelles soient leur personnalité, ces personnes sont venues, elles nous ont éclairé largement et c’est ce qu’on attend de chacun pour que tous les Ivoiriens puissent rester calme et comprendre ce qui s’est passé. En fait puisse que c’est le gouvernement qui va se saisir du résultat. Je crois que là-bas ils sauront trouver une solution encore plus adéquate dans l’intérêt du pays (…) Les responsables de Sagem sécurité devaient être convoqués mais pour l’instant nous avons toutes les données et nous avons estimé que ce n’était pas nécessaire. On a vraiment tout. La preuve en est que tout a été affiché. Le contentieux administratif a pris fin, nous sommes dans le contentieux judiciaire. Les éléments de la police ont voulu les convoquer, nous avons demandé qu’ils puissent surseoir à la convocation, parce que nous avons toutes les informations ».
Dosso Villard
« Nous sommes dans le cadre d’une enquête et on va doucement. Ce n’est pas parce que quelqu’un n’a pas répondu à la première convocation que rapidement, je vais me mettre en marche pour aller l’arrêter. Je peux estimer que nous avons déjà les données et nous n’avons pas besoin d’aller loin. Dans le cadre de la Sagem, nous avons un certain nombre d’informations, on n’a tout ce qu’il faut. Par la suite on verra si c’est nécessaire d’entendre les membres de Sagem en qualité de témoins. Si ce n’est pas nécessaire, on laisse tomber. Ceux pour lesquels une audition est nécessaire et qui ne veulent pas répondre, là j’ai tout mon arsenal pour les inviter à être présents. Mais dans le cadre de cette enquête, il serait bien qu’il y ait une bonne collaboration. Que les gens n’aient pas peur. Je sais que certains ont été convoqués, ils ont eu peur et ont décidé de prendre des avocats pour prendre des précautions. Mais nous avons tous les moyens pour les contraindre afin qu’ils viennent répondre à la convocation. J’ai cru entendre que beaucoup n’ont rien à se reprocher. Donc quand on n’a rien à se reprocher, on répond tranquillement aux questions et c’est technique. Il faut qu’il ait une bonne collaboration, que tous les témoins puissent répondre aux convocations. Déjà certains sont venus quelles soient leur personnalité, ces personnes sont venues, elles nous ont éclairé largement et c’est ce qu’on attend de chacun pour que tous les Ivoiriens puissent rester calme et comprendre ce qui s’est passé. En fait puisse que c’est le gouvernement qui va se saisir du résultat. Je crois que là-bas ils sauront trouver une solution encore plus adéquate dans l’intérêt du pays (…) Les responsables de Sagem sécurité devaient être convoqués mais pour l’instant nous avons toutes les données et nous avons estimé que ce n’était pas nécessaire. On a vraiment tout. La preuve en est que tout a été affiché. Le contentieux administratif a pris fin, nous sommes dans le contentieux judiciaire. Les éléments de la police ont voulu les convoquer, nous avons demandé qu’ils puissent surseoir à la convocation, parce que nous avons toutes les informations ».
Dosso Villard