Les travailleurs affiliés aux compagnies d’assurances membres de l’association des sociétés d’assurance de Côte d’Ivoire (ASA-CI), n’ont plus droit à une couverture médicale.
D’un commun accord, les syndicats des médecins privés et l’association des cliniques privées ont décidé unilatéralement, d’ici début février 2010, de revoir à la hausse les prix des prestations dans toutes les cliniques privées agréées de Côte d’Ivoire. En réaction, pour marquer son désaccord l’association des sociétés d’assurances de Côte d’Ivoire (ASA-CI) dit avoir pris acte de la dénonciation des conventions par les prestataires de santé. Elle a décidé de suspendre l’assurance santé du service tiers payant depuis janvier 2010, jusqu’à nouvel ordre. Pis, l’ASA-CI envisage d’augmenter les tarifs d’assurance santé à compter de la même date. Selon leurs responsables, les médecins privés disent n’avoir pas le choix. Parce que : « Les entreprises privées de la santé, comme toute entreprise, sont soumises aux mêmes règles de gestion. Elles doivent s’adapter aux changements infligés par le marché et répondre promptement à toute fluctuation à la hausse. Il y va de leur survie », estime M. Boguifo.
JC KORE
D’un commun accord, les syndicats des médecins privés et l’association des cliniques privées ont décidé unilatéralement, d’ici début février 2010, de revoir à la hausse les prix des prestations dans toutes les cliniques privées agréées de Côte d’Ivoire. En réaction, pour marquer son désaccord l’association des sociétés d’assurances de Côte d’Ivoire (ASA-CI) dit avoir pris acte de la dénonciation des conventions par les prestataires de santé. Elle a décidé de suspendre l’assurance santé du service tiers payant depuis janvier 2010, jusqu’à nouvel ordre. Pis, l’ASA-CI envisage d’augmenter les tarifs d’assurance santé à compter de la même date. Selon leurs responsables, les médecins privés disent n’avoir pas le choix. Parce que : « Les entreprises privées de la santé, comme toute entreprise, sont soumises aux mêmes règles de gestion. Elles doivent s’adapter aux changements infligés par le marché et répondre promptement à toute fluctuation à la hausse. Il y va de leur survie », estime M. Boguifo.
JC KORE
