Le Comité de suivi travaille depuis 19 janvier. Composé de 12 membres, il est installé dans les locaux du Centre de coordination au quartier Millionnaire. Selon Sanogo Kalil, président régional de la Cei et président dudit comité, les travaux se déroulent bien. « Sur plus de 47.000 personnes concernées par le contentieux électoral, on dénombre près de 30.000 réclamations », confie-t-il. Le département de Yamoussoukro présente à ses dires environ 12.000 pétitionnaires non satisfaits. A la date du 28 janvier, le Comité de suivi a statué sur près de 5.000 dossiers et en a validé environ 4.000. Les cas de rejet, explique-t-il, sont principalement les dossiers défendus par les attestations sur l’honneur.
A Toumodi, les travaux ont ralenti mercredi. Des commissaires omis par la paie des per diem ont paralysé le travail. Le Comité de suivi de Toumodi planche sur environ 4.700 réclamations sur les 7.500 attendues. Seulement 1.700 ont été traitées, émanant toutes de la sous-préfecture centrale et de la commune de Toumodi. Les pétitionnaires des sous-préfectures d’Angonda, Djékanou, Kokumbo et Kpêbo attendent. Un commissaire signale, sous l’anonymat, le cas d’un gendarme classé C3, c’est-à-dire devant prouver sa nationalité. L’intéressé natif d’Ouragahio, a vite été rassuré qu’une erreur s’était produite sur son cas.
Ousmane Diallo à Yamoussoukro
A Toumodi, les travaux ont ralenti mercredi. Des commissaires omis par la paie des per diem ont paralysé le travail. Le Comité de suivi de Toumodi planche sur environ 4.700 réclamations sur les 7.500 attendues. Seulement 1.700 ont été traitées, émanant toutes de la sous-préfecture centrale et de la commune de Toumodi. Les pétitionnaires des sous-préfectures d’Angonda, Djékanou, Kokumbo et Kpêbo attendent. Un commissaire signale, sous l’anonymat, le cas d’un gendarme classé C3, c’est-à-dire devant prouver sa nationalité. L’intéressé natif d’Ouragahio, a vite été rassuré qu’une erreur s’était produite sur son cas.
Ousmane Diallo à Yamoussoukro
