Le ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique a officiellement lancé le 04 février 2010 à l’Institut Nationale de Santé Publique (INSP) d’Adjamé un projet de lutte contre le paludisme.
« Passage à échelle des interventions de lutte contre le paludisme en Côte d’Ivoire dans un contexte de reconstruction nationale » est le thème dudit projet dont, la subvention globale s’élève à 115 milliards de F CFA. Pour M. Blédi Félix, représentant le ministre de la santé et de l’Hygiène Publique, la mise sur pieds de ce projet est très judicieuse et porteuse d’espoir pour toute la population ivoirienne. Car souligne t-il, les statistiques révèlent que le paludisme représente plus de 50% des motifs de consultation, et un décès sur trois serait dû à cette affection qui touche plus les femmes enceintes et les enfants de moins de 5 ans. « Ce projet, nous en avons la ferme conviction, permettra à la Côte d’Ivoire d’atteindre les Objectifs du Millénaire pour le Développement au niveau du paludisme en 2015 », a-t-il conclu. Quant au Dr San Koffi Moise, coordonnateur de ce projet, il a affirmé que cette action vise à réduire de 50% au moins la morbidité et la mortalité dues au paludisme. Puis d’indiquer que ce projet, permettra à 80% de la population de dormir sous des moustiquaires imprégnées. Il s’agira aussi de faire en sorte que le traitement du paludisme soit rationalisé en Côte d’Ivoire. Ce projet qui s’étendra sur 5 ans touchera l’ensemble des 83 districts sanitaires du pays. Ce sont 8000 prestataires de soins du public et du privé non lucratifs qui seront formés, 8.900. 000 moustiquaires imprégnées d’insecticides à longue durée d’action qui seront distribuées gratuitement aux populations lors d’une grande campagne de masse. Les femmes enceintes recevront spécialement plus de 1.000.000 de moustiquaires imprégnées. Plus de 6 milliards de F CFA de médicaments antipaludiques seront disponibles pour le traitement des patients. Ce projet permettra aussi la couverture de tous les centres de santé en moyens de diagnostic de confirmation du paludisme. Par ailleurs, cette action qui mettra un accent particulier sur les activités à base communautaires, a bénéficié du soutien de plusieurs organismes dont l’OMS, L’UNICEF, les ONG internationales et nationales etc.
R.D
« Passage à échelle des interventions de lutte contre le paludisme en Côte d’Ivoire dans un contexte de reconstruction nationale » est le thème dudit projet dont, la subvention globale s’élève à 115 milliards de F CFA. Pour M. Blédi Félix, représentant le ministre de la santé et de l’Hygiène Publique, la mise sur pieds de ce projet est très judicieuse et porteuse d’espoir pour toute la population ivoirienne. Car souligne t-il, les statistiques révèlent que le paludisme représente plus de 50% des motifs de consultation, et un décès sur trois serait dû à cette affection qui touche plus les femmes enceintes et les enfants de moins de 5 ans. « Ce projet, nous en avons la ferme conviction, permettra à la Côte d’Ivoire d’atteindre les Objectifs du Millénaire pour le Développement au niveau du paludisme en 2015 », a-t-il conclu. Quant au Dr San Koffi Moise, coordonnateur de ce projet, il a affirmé que cette action vise à réduire de 50% au moins la morbidité et la mortalité dues au paludisme. Puis d’indiquer que ce projet, permettra à 80% de la population de dormir sous des moustiquaires imprégnées. Il s’agira aussi de faire en sorte que le traitement du paludisme soit rationalisé en Côte d’Ivoire. Ce projet qui s’étendra sur 5 ans touchera l’ensemble des 83 districts sanitaires du pays. Ce sont 8000 prestataires de soins du public et du privé non lucratifs qui seront formés, 8.900. 000 moustiquaires imprégnées d’insecticides à longue durée d’action qui seront distribuées gratuitement aux populations lors d’une grande campagne de masse. Les femmes enceintes recevront spécialement plus de 1.000.000 de moustiquaires imprégnées. Plus de 6 milliards de F CFA de médicaments antipaludiques seront disponibles pour le traitement des patients. Ce projet permettra aussi la couverture de tous les centres de santé en moyens de diagnostic de confirmation du paludisme. Par ailleurs, cette action qui mettra un accent particulier sur les activités à base communautaires, a bénéficié du soutien de plusieurs organismes dont l’OMS, L’UNICEF, les ONG internationales et nationales etc.
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