Le trafic de marchandises au port d'Abidjan, leader en Afrique de l'ouest, a atteint plus de 24 millions de tonnes en 2009, en hausse de 8,8% grâce en partie au fret à destination des pays enclavés, a indiqué mercredi son directeur Marcel Gossio.
"Le trafic total de marchandises a atteint 24,03 millions de tonnes, en hausse de 8,8% par rapport à 2008" dans le port autonome d'Abidjan (PAA), a annoncé M. Gossio lors d'une cérémonie.
En hausse au cours des trois dernières années, le trafic avait enregistré une augmentation de 3,3% en 2008.
Les produits pétroliers sont passés de 9,8 millions à 12 millions de tonnes en 2009, selon les chiffres fournis par la direction.
En revanche, le trafic conteneurs est en baisse (-5,9%), en raison des grèves de dockers qui ont secoué le secteur en 2009, selon la même source.
Les marchandises à destination du Burkina, du Mali et du Niger, pays enclavés de la sous-région, ont atteint 1,6 million de tonnes, en augmentation de 58,4%.
Selon M. Gossio, ce résultat "jamais obtenu" auparavant par le port est le fruit d'"une politique commerciale hardie" menée depuis 2007 vers ces pays, pour récupérer les parts de marché perdues au lendemain de la crise ivoirienne née en 2002 d'un coup d'Etat manqué.
"Le trafic total de marchandises a atteint 24,03 millions de tonnes, en hausse de 8,8% par rapport à 2008" dans le port autonome d'Abidjan (PAA), a annoncé M. Gossio lors d'une cérémonie.
En hausse au cours des trois dernières années, le trafic avait enregistré une augmentation de 3,3% en 2008.
Les produits pétroliers sont passés de 9,8 millions à 12 millions de tonnes en 2009, selon les chiffres fournis par la direction.
En revanche, le trafic conteneurs est en baisse (-5,9%), en raison des grèves de dockers qui ont secoué le secteur en 2009, selon la même source.
Les marchandises à destination du Burkina, du Mali et du Niger, pays enclavés de la sous-région, ont atteint 1,6 million de tonnes, en augmentation de 58,4%.
Selon M. Gossio, ce résultat "jamais obtenu" auparavant par le port est le fruit d'"une politique commerciale hardie" menée depuis 2007 vers ces pays, pour récupérer les parts de marché perdues au lendemain de la crise ivoirienne née en 2002 d'un coup d'Etat manqué.