Suite à l’affaire de la radiation de 200 personnes sur la liste électorale à Katiola et qui a irrité les populations de cette localité le mardi dernier. Ouamien Coulibaly, le chef de cabinet du maire de Katiola et directeur départemental de campagne d’Alassane Dramane Ouattara (ADO) à mis en cause à l’occasion d’un point de presse qu’il a animé ce mercredi, le camp présidentiel.
Pour le directeur départemental de campagne d’Alassane Dramane Ouattara à Katiola, Ouamien Coulibaly le camp présidentiel est à l’origine de cette situation. Pour preuve, il a indiqué suite à cette affaire, qu’une ordonnance délivrée par N’Damien Kabran le président du tribunal de Katiola lui a été présenté, à son service à la mairie de Katiola le mardi dernier par maître Kpampis, anciennement en poste au tribunal de Bouaké, avec une requête de radiation signée de Laurent Gbagbo. En vue d’une fouille de l’état civil de la mairie de Katiola pour procéder à la radiation de 200 personnes sur la liste électorale dont a-t-il mentionné, ont des noms à consonance nordique. Ainsi, face à cette affaire qui a irrité la population de Katiola et où le juge de cette localité a failli y laisser la peau, le DDC d’Ado a indiqué qu’à Katiola, les populations n’accepteront pas que le FPI qui est minoritaire vienne imposer sa loi. « Au niveau de Katiola, on n’acceptera plus jamais que la mouvance présidentielle s’immisce dans la gestion du contentieux. Le contentieux est l’affaire de la CEI et du tribunal», a fait remarquer le DDC d’Ado. Après quoi, suite à cette affaire, il a indiqué que si dorénavant la mouvance présidentielle s’immisce dans la gestion du contentieux électoral à Katiola, il demandera aux jeunes de son parti le RDR, de rentrer en action. Dans son intervention M. Coulibaly a aussi mis en garde certains administrateurs de la ville de Katiola pour leur militantisme avéré au sein du camp présidentiel. A ces derniers, notamment au sous-préfet Attri Jacques Kouakou et au juge N’Damien Kabran, il leur a demandé de travailler dans un cadre républicain. « Ce n’est pas parce qu’on s’appelle Ouédraogo ou Simporé qu’on est forcément Burkinabé », a prévenu le DDC d’Ado. Avant de conclure que le RHDP se porte bien à Katiola.
Dénis KONE
envoyé spécial à Katiola
Pour le directeur départemental de campagne d’Alassane Dramane Ouattara à Katiola, Ouamien Coulibaly le camp présidentiel est à l’origine de cette situation. Pour preuve, il a indiqué suite à cette affaire, qu’une ordonnance délivrée par N’Damien Kabran le président du tribunal de Katiola lui a été présenté, à son service à la mairie de Katiola le mardi dernier par maître Kpampis, anciennement en poste au tribunal de Bouaké, avec une requête de radiation signée de Laurent Gbagbo. En vue d’une fouille de l’état civil de la mairie de Katiola pour procéder à la radiation de 200 personnes sur la liste électorale dont a-t-il mentionné, ont des noms à consonance nordique. Ainsi, face à cette affaire qui a irrité la population de Katiola et où le juge de cette localité a failli y laisser la peau, le DDC d’Ado a indiqué qu’à Katiola, les populations n’accepteront pas que le FPI qui est minoritaire vienne imposer sa loi. « Au niveau de Katiola, on n’acceptera plus jamais que la mouvance présidentielle s’immisce dans la gestion du contentieux. Le contentieux est l’affaire de la CEI et du tribunal», a fait remarquer le DDC d’Ado. Après quoi, suite à cette affaire, il a indiqué que si dorénavant la mouvance présidentielle s’immisce dans la gestion du contentieux électoral à Katiola, il demandera aux jeunes de son parti le RDR, de rentrer en action. Dans son intervention M. Coulibaly a aussi mis en garde certains administrateurs de la ville de Katiola pour leur militantisme avéré au sein du camp présidentiel. A ces derniers, notamment au sous-préfet Attri Jacques Kouakou et au juge N’Damien Kabran, il leur a demandé de travailler dans un cadre républicain. « Ce n’est pas parce qu’on s’appelle Ouédraogo ou Simporé qu’on est forcément Burkinabé », a prévenu le DDC d’Ado. Avant de conclure que le RHDP se porte bien à Katiola.
Dénis KONE
envoyé spécial à Katiola