Il y a avait foule le samedi 13 février 2010, à l’amphi 7 du campus de Cocody. Et pour cause, le Secrétaire général de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (Fesci) Mian Augustin réélu au mois de décembre dernier, présentait son nouveau bureau. Ce fut surtout l’occasion pour celui-ci d’appeler élèves et étudiants à la mobilisation, à l’union et au travail.
« Notre ambition, c’est de faire de la Fesci, une structure de développement au service des élèves et étudiants de Côte d’Ivoire », a souligné Mian à ses partisans. Selon lui, l’héritage reçu par leurs devanciers doit être renforcé pour un mouvement mature, sérieux et studieux. Sa réélection il la doit, a-t-il précisé, au travail abattu pendant deux ans au service de ses pairs. Cette confiance est source de motivation pour Mian. Il a toutefois compris que tout n’était pas parfait. « Chaque élection produit son lot de mécontents et de frustrés. Mais, les élèves et étudiants ont pris de la hauteur. Ils ne sont pas tombés dans la provocation et la démagogie, mais ils sont restés dignes, inébranlables et égaux à eux-mêmes. », s’est-il satisfait. Puis d’affirmer qu’ils ont la vérité, la justice et la légalité avec eux. C’est en vertu de tout cela, qu’il a invité ses détracteurs aux débats d’idées et à la saine confrontation sur les moyens de rendre la Fesci plus performante pour le grand bien de l’école. « Détachez-vous systématiquement de la violence sous toutes ses formes car, c’est parce que nous avons la force avec nous que nous devons l’utiliser pour les batailles qui vaillent la peine », a exhorté le secrétaire général de la Fesci. Il s’agit pour lui, d’être bien formé pour trouver des emplois à la mesure de leurs capacités. Mian a donc appelé chacun à se préparer pour être au rendez-vous de la mondialisation. Pour répondre présent à ce rendez-vous du donner et du recevoir, il a souligné qu’il faut une organisation. C’est à cela que répond la formation du nouveau bureau. Comportant 24 membres, le BEN accueille quelques anciens comme Amouzou Gilles 2ème SGA, Essé Aka Bérenger (Bergeur) secrétaire à l’organisation et des nouveaux comme Toupko Marcel, candidat malheureux. Mian a précisé qu’aucune œuvre n’est parfaite, c’est pourquoi les consultations vont se poursuivre afin d’impliquer le maximum de personnes dont ceux de la dissidence. Toutefois, il a demandé à ses camarades de ne pas se focaliser sur les postes à la Fesci qui ne sont pas des carrières. « Notre porte de sortie, c'est-à-dire, l’après-Fesci est plus important car il engage notre avenir », a-t-il terminé.
Olivier Guédé
« Notre ambition, c’est de faire de la Fesci, une structure de développement au service des élèves et étudiants de Côte d’Ivoire », a souligné Mian à ses partisans. Selon lui, l’héritage reçu par leurs devanciers doit être renforcé pour un mouvement mature, sérieux et studieux. Sa réélection il la doit, a-t-il précisé, au travail abattu pendant deux ans au service de ses pairs. Cette confiance est source de motivation pour Mian. Il a toutefois compris que tout n’était pas parfait. « Chaque élection produit son lot de mécontents et de frustrés. Mais, les élèves et étudiants ont pris de la hauteur. Ils ne sont pas tombés dans la provocation et la démagogie, mais ils sont restés dignes, inébranlables et égaux à eux-mêmes. », s’est-il satisfait. Puis d’affirmer qu’ils ont la vérité, la justice et la légalité avec eux. C’est en vertu de tout cela, qu’il a invité ses détracteurs aux débats d’idées et à la saine confrontation sur les moyens de rendre la Fesci plus performante pour le grand bien de l’école. « Détachez-vous systématiquement de la violence sous toutes ses formes car, c’est parce que nous avons la force avec nous que nous devons l’utiliser pour les batailles qui vaillent la peine », a exhorté le secrétaire général de la Fesci. Il s’agit pour lui, d’être bien formé pour trouver des emplois à la mesure de leurs capacités. Mian a donc appelé chacun à se préparer pour être au rendez-vous de la mondialisation. Pour répondre présent à ce rendez-vous du donner et du recevoir, il a souligné qu’il faut une organisation. C’est à cela que répond la formation du nouveau bureau. Comportant 24 membres, le BEN accueille quelques anciens comme Amouzou Gilles 2ème SGA, Essé Aka Bérenger (Bergeur) secrétaire à l’organisation et des nouveaux comme Toupko Marcel, candidat malheureux. Mian a précisé qu’aucune œuvre n’est parfaite, c’est pourquoi les consultations vont se poursuivre afin d’impliquer le maximum de personnes dont ceux de la dissidence. Toutefois, il a demandé à ses camarades de ne pas se focaliser sur les postes à la Fesci qui ne sont pas des carrières. « Notre porte de sortie, c'est-à-dire, l’après-Fesci est plus important car il engage notre avenir », a-t-il terminé.
Olivier Guédé