L’année académique 2009 -2010 au niveau de l’enseignement supérieure court le risque d’une perturbation. Pas à cause des grèves et autres palabres de la FESCI, mais plutôt par la faute des étudiants eux- mêmes, qui ont décidé de trainer les pas.
A la Direction des Examen et Concours de l’Enseignement Supérieure, tout semble paralysé. Pas par la faute des responsables de cette direction mais de la lenteur avec laquelle, les élèves et étudiants s’inscrivent.
Au point que cette direction habituellement grouillante d’étudiants jadis connaît de nos jours une affluence morose. Sinon comment comprendre et expliquer que pour près de 20.000 places proposées dans les établissements, le nombre d’inscrit n’atteint pas à ce jour 5000. Une pénible situation qui a conduit la direction tenue par M. Doulaye Coulibaly de faire des communiqués afin d’exhorter les élèves et étudiants à venir s’inscrire. Mieux aux dires de M. Coulibaly Doulaye, cette situation risque de jouer sur les Examens du BTS. On ne peut attendre longtemps pour débuter la rentrée. Toujours selon lui, la situation pécuniaire des parents étant de nos jours difficile, il serait intéressant que le gouvernement réexamine les droits d’inscription qui s’élèvent à 40 000 F CFA alors qu’ on paie 6000 F CFA à l’Université. Toute chose qui fait qu’aujourd’hui les Universités sont engorgées pendant qu’il existe un nombre impressionnant des places au sein des grandes écoles. Un secteur qui risque d’aller à reculons comme l’école ivoirienne si rien fait.
Dorothé Aka
A la Direction des Examen et Concours de l’Enseignement Supérieure, tout semble paralysé. Pas par la faute des responsables de cette direction mais de la lenteur avec laquelle, les élèves et étudiants s’inscrivent.
Au point que cette direction habituellement grouillante d’étudiants jadis connaît de nos jours une affluence morose. Sinon comment comprendre et expliquer que pour près de 20.000 places proposées dans les établissements, le nombre d’inscrit n’atteint pas à ce jour 5000. Une pénible situation qui a conduit la direction tenue par M. Doulaye Coulibaly de faire des communiqués afin d’exhorter les élèves et étudiants à venir s’inscrire. Mieux aux dires de M. Coulibaly Doulaye, cette situation risque de jouer sur les Examens du BTS. On ne peut attendre longtemps pour débuter la rentrée. Toujours selon lui, la situation pécuniaire des parents étant de nos jours difficile, il serait intéressant que le gouvernement réexamine les droits d’inscription qui s’élèvent à 40 000 F CFA alors qu’ on paie 6000 F CFA à l’Université. Toute chose qui fait qu’aujourd’hui les Universités sont engorgées pendant qu’il existe un nombre impressionnant des places au sein des grandes écoles. Un secteur qui risque d’aller à reculons comme l’école ivoirienne si rien fait.
Dorothé Aka
