De sources proches de la CIE et selon des habitants joints par téléphone, le délestage est devenu une belle occasion pour les voleurs et autres vandales de sévir, dans la localité de Bouaké, fief de l’ex- rébellion. Ceux-ci se sont signalés récemment à Gonfreville et Ahougnassou ; deux quartiers populaires de la capitale du centre.
Dans le premier secteur, ils ont emporté les câbles qui relient la moyenne tension au transformateur. Dans la seconde zone, ce sont les câbles aux alentours du Château qui ont été sectionnés par les malfrats. Conséquences, les ménages et la voirie dans ces localités sont complètement privés d’électricité. L’aéroport qui se trouve au nord de Gonfreville n’est pas non plus épargné. Actuellement, indiquent nos sources, ce sont des groupes électrogènes de l’Onuci qui l’alimentent en électricité.
C’est le lieu de rappeler que les vols de câbles étaient très récurrents dans les zones CNO. Du fait de ces dommages, il fallait, selon certaines indiscrétions, pour la seule localité de Bouaké, une enveloppe de près de 10 milliards pour rétablir le courant et l’éclairage public. Aujourd’hui, cette forme de criminalité qui se développe avec le délestage, ne fait qu’en ajouter aux difficultés.
Koffi Kouamé
Correspondant régional
Dans le premier secteur, ils ont emporté les câbles qui relient la moyenne tension au transformateur. Dans la seconde zone, ce sont les câbles aux alentours du Château qui ont été sectionnés par les malfrats. Conséquences, les ménages et la voirie dans ces localités sont complètement privés d’électricité. L’aéroport qui se trouve au nord de Gonfreville n’est pas non plus épargné. Actuellement, indiquent nos sources, ce sont des groupes électrogènes de l’Onuci qui l’alimentent en électricité.
C’est le lieu de rappeler que les vols de câbles étaient très récurrents dans les zones CNO. Du fait de ces dommages, il fallait, selon certaines indiscrétions, pour la seule localité de Bouaké, une enveloppe de près de 10 milliards pour rétablir le courant et l’éclairage public. Aujourd’hui, cette forme de criminalité qui se développe avec le délestage, ne fait qu’en ajouter aux difficultés.
Koffi Kouamé
Correspondant régional