Depuis l’incendie du marché de Cocody et plus récemment celui du Black market, de la Tour de Babel d’Adjamé et du marché de Koumassi, la Mutuelle générale des commerçants de Côte d’Ivoire (Mugec-CI) a décidé de se doter d’une assurance. Après avoir rencontré les commerçants marocains, samedi, M. Tiamiyu Moustapha, président du conseil d’administration de la mutuelle, son bureau et l’assureur qui a bien voulu les accompagner étaient en campagne de séduction chez le président des commerçants mauritaniens, M. Mohamed Lemine Sylla, à Marcory.
M. Tiamiyu Moustapha a rappelé les difficultés qui sont celles des commerçants sinistrés, dont nombreux sont ceux qui n’arrivent plus à reprendre leurs activités après un incendie. Et a livré le contenu et les types de contrat qui lient la mutuelle à l’assureur, sans oublier les avantages liés, qui partent des incendies aux inondations.
Au cours des échanges, M. Mohamed Lemine Sylla, le président des commerçants mauritaniens, et les 11 délégués des communes d’Abidjan ont promis de répercuter le message auprès de leurs frères. A Yopougon, par exemple, relevait le délégué de cette commune, ce sont 1996 boutiques de Mauritaniens qu’il faudra visiter pour informer leurs propriétaires du produit d’assurance pour susciter ou non leur adhésion. A Abidjan, l’on dénombre 70 000 boutiques mauritaniennes sur les 120 000 enregistrées en Côte d’Ivoire. Malgré l’intérêt apparent qu’ils ont affiché pour le produit assurance contre les incendies, les représentants des commerçants mauritaniens ont stigmatisé le comportement de certains syndicats qui les ont approchés. Ces derniers ont levé des cotisations, mais ils n’ont pas su ce qu’il est advenu de leur argent. Ils ont simplement disparu sans crier gare. Le bureau de la Mugec-CI les a rassurés qu’ils œuvrent seulement pour le bien des commerçants.
L’avantage, selon la mutuelle, c’est que le montant de la cotisations à payer chez l’assureur n’est pas élevé.
Cissé Mamadou
M. Tiamiyu Moustapha a rappelé les difficultés qui sont celles des commerçants sinistrés, dont nombreux sont ceux qui n’arrivent plus à reprendre leurs activités après un incendie. Et a livré le contenu et les types de contrat qui lient la mutuelle à l’assureur, sans oublier les avantages liés, qui partent des incendies aux inondations.
Au cours des échanges, M. Mohamed Lemine Sylla, le président des commerçants mauritaniens, et les 11 délégués des communes d’Abidjan ont promis de répercuter le message auprès de leurs frères. A Yopougon, par exemple, relevait le délégué de cette commune, ce sont 1996 boutiques de Mauritaniens qu’il faudra visiter pour informer leurs propriétaires du produit d’assurance pour susciter ou non leur adhésion. A Abidjan, l’on dénombre 70 000 boutiques mauritaniennes sur les 120 000 enregistrées en Côte d’Ivoire. Malgré l’intérêt apparent qu’ils ont affiché pour le produit assurance contre les incendies, les représentants des commerçants mauritaniens ont stigmatisé le comportement de certains syndicats qui les ont approchés. Ces derniers ont levé des cotisations, mais ils n’ont pas su ce qu’il est advenu de leur argent. Ils ont simplement disparu sans crier gare. Le bureau de la Mugec-CI les a rassurés qu’ils œuvrent seulement pour le bien des commerçants.
L’avantage, selon la mutuelle, c’est que le montant de la cotisations à payer chez l’assureur n’est pas élevé.
Cissé Mamadou
