Bernard Douabou Gninia, préfet du département de Grand-Bassam appelle ses administrés au calme, après les marches éclatées de l`opposition. Au cours de sa tournée de prise de contact, récemment avec les populations de Tchanchevé dans la sous-préfecture de Bonoua (département de Grand-Bassam), il a porté un message du gouvernement aux populations. « Le gouvernement me charge de vous dire qu`il n`y a pas de feu à la maison », a-t-il rassuré. Le représentant du chef de l`Etat a rappelé la crise. Bernard D. Gninia a souligné que grâce aux accords de Ouaga, la Côte d`Ivoire reprend progressivement sa place dans le concert des nations. Revenant sur la marche des houphouétistes, il a déploré «plusieurs biens saccagés ». Le préfet a aussi rassuré sur la fin de cette crise : « La crise, a-t-il dit, est en train de prendre fin. Le nouveau gouvernement est constitué partiellement. La Cei sera réformée d`ici peu ». Aux populations de Bonoua qui n`ont pas marché, le préfet a réitéré son admiration.
Le préfet a instruit son auditoire sur les conditions d`acquisition de la nationalité ivoirienne. Et il a conseillé aux ressortissants de la Cedeao d`utiliser la voie légale pour acquérir la nationalité ivoirienne. Abordant le volet de l`état civil, le préfet a déclaré qu`il est en voie d`être modernisé : « Avec l`aide de l`U.E, dira-t-il, l`état civil sera informatisé. Il n`est plus question d`aller forcement où on est né pour se faire tirer une copie. ». Enfin, sur le cinquantenaire, il a souhaité l`implication des populations : « Je voudrais inviter tout le monde à se rendre disponible ». Après l`étape de Tchanchévé, il s`est rendu le même jour à Assé puis à Larabia toujours dans la sous-préfecture de Bonoua.
Emmanuelle Kanga à Grand-Bassam
Le préfet a instruit son auditoire sur les conditions d`acquisition de la nationalité ivoirienne. Et il a conseillé aux ressortissants de la Cedeao d`utiliser la voie légale pour acquérir la nationalité ivoirienne. Abordant le volet de l`état civil, le préfet a déclaré qu`il est en voie d`être modernisé : « Avec l`aide de l`U.E, dira-t-il, l`état civil sera informatisé. Il n`est plus question d`aller forcement où on est né pour se faire tirer une copie. ». Enfin, sur le cinquantenaire, il a souhaité l`implication des populations : « Je voudrais inviter tout le monde à se rendre disponible ». Après l`étape de Tchanchévé, il s`est rendu le même jour à Assé puis à Larabia toujours dans la sous-préfecture de Bonoua.
Emmanuelle Kanga à Grand-Bassam
