La Côte d’Ivoire traverse un sale temps, c’est le cas de le dire avec cette triste période de délestage et les coupures intempestives d’eau. Tout semble se dérouler comme si les tenants du pouvoir veulent asphyxier les Ivoiriens. En témoigne le silence inquiétant du chef du Fpi face à ces déboires.
La population est à bout de souffle. Elle n’arrive plus à supporter les effets du délestage qui vont crescendo. Et Comme si cela n’était assez pénible pour les populations, le phénomène de coupure générale d’eau est vient corser l’addition. Vivre sans eau et sans électricité, c’est le pire des calvaires qu’un peuple peut subir. Malheureusement cela est devenu le quotidien des ivoiriens sous le règne du Fpi. La Côte d’Ivoire privée d’eau potable et de courant, qui l’aurait cru. Et oui, c’est une réalité avec laquelle il faut composer après cinquante ans d’existence. Les populations sont comme prises entre l’étau et l’enclume. Elles ne savent à quel saint se vouer. La situation est d’autant plus grave que Gbagbo donne l’impression de s’en foutre. Des morts ont été déjà enregistrés dans des centres hospitaliers à cause du délestage. Et des épidémies seraient à la porte du pays par ce manque criard d’eau potable. Les refondateurs, eux s’en moquent car ils ne sont touchés ni de près ni de loin par cette souffrance. C’est dans cette logique que le ministre Emmanuel Monnet, débarqué pour incompétence du portefeuille des mines et de l’Energie nargué les ivoiriens en minimisant les effets du délestage. D’ailleurs, cette attitude de l’ex-ministre est le reflet de celle de toute la refondation. Ces supra socialistes ont mis le pays dans la chienlit. Les Ivoiriens agonissent pendant que, eux, sont préoccupés à lutter pour conserver leur fauteuil présidentiel. Cette situation alarmiste n’est que le dernier des soucis de Laurent Gbagbo. Tant pis si la pénurie d’eau et le délestage font des victimes au sein des populations. L’élection présidentielle et la célébration du cinquantenaire comptent bien plus pour le chef du palais. C’est ce qui explique son mutisme face à cette obscurité qui a couvert le pays depuis deux mois.
Le silence inquiétant de Gbagbo
La passivité du chef de l’Etat face au malaise que vit la Côte d’Ivoire inquiète et révolte les ivoiriens. Même si le patron de l’exécutif n’est pas touché directement par le délestage, il n’empêche que le Woody donne des explications à ses compatriotes. Car c’est sous son règne que le pays s’est retrouvé dans ce « barbless ». C’est même un devoir pour lui de le faire. Le natif de Mama, lui préfère se refugier derrière le silence pour fur ses responsabilités. Il n’a peut-être pas tort, car il est en mauvaise posture. Car jamais les Ivoiriens n’ont connu autant souffrance que sous l’ère Gbagbo. Aujourd’hui la paire délestage coupure d’eau accentue la souffrance. Et en lieu et place d’une réaction du président de la république, c’est plutôt l’indifférence que Gbagbo sert aux ivoiriens. Le revers de cette attitude ne peut être que le mécontentement du peuple.
Des manifestations à l’horizon
Le sentiment de colère monte au sein des populations. Elles en ont marre de ce Jong. Les ivoiriens n’attendent pas rester de marbre face à cette souffrance. Dans les différentes communes d’Abidjan et des villes de l’intérieur des sensibilisations seraient en train d’être mené pour des manifestations de mécontentement. la fièvre qui va monter risquerait de faire tâche d’huile. Des jours chauds pointent donc à l’horizon.
JN
La population est à bout de souffle. Elle n’arrive plus à supporter les effets du délestage qui vont crescendo. Et Comme si cela n’était assez pénible pour les populations, le phénomène de coupure générale d’eau est vient corser l’addition. Vivre sans eau et sans électricité, c’est le pire des calvaires qu’un peuple peut subir. Malheureusement cela est devenu le quotidien des ivoiriens sous le règne du Fpi. La Côte d’Ivoire privée d’eau potable et de courant, qui l’aurait cru. Et oui, c’est une réalité avec laquelle il faut composer après cinquante ans d’existence. Les populations sont comme prises entre l’étau et l’enclume. Elles ne savent à quel saint se vouer. La situation est d’autant plus grave que Gbagbo donne l’impression de s’en foutre. Des morts ont été déjà enregistrés dans des centres hospitaliers à cause du délestage. Et des épidémies seraient à la porte du pays par ce manque criard d’eau potable. Les refondateurs, eux s’en moquent car ils ne sont touchés ni de près ni de loin par cette souffrance. C’est dans cette logique que le ministre Emmanuel Monnet, débarqué pour incompétence du portefeuille des mines et de l’Energie nargué les ivoiriens en minimisant les effets du délestage. D’ailleurs, cette attitude de l’ex-ministre est le reflet de celle de toute la refondation. Ces supra socialistes ont mis le pays dans la chienlit. Les Ivoiriens agonissent pendant que, eux, sont préoccupés à lutter pour conserver leur fauteuil présidentiel. Cette situation alarmiste n’est que le dernier des soucis de Laurent Gbagbo. Tant pis si la pénurie d’eau et le délestage font des victimes au sein des populations. L’élection présidentielle et la célébration du cinquantenaire comptent bien plus pour le chef du palais. C’est ce qui explique son mutisme face à cette obscurité qui a couvert le pays depuis deux mois.
Le silence inquiétant de Gbagbo
La passivité du chef de l’Etat face au malaise que vit la Côte d’Ivoire inquiète et révolte les ivoiriens. Même si le patron de l’exécutif n’est pas touché directement par le délestage, il n’empêche que le Woody donne des explications à ses compatriotes. Car c’est sous son règne que le pays s’est retrouvé dans ce « barbless ». C’est même un devoir pour lui de le faire. Le natif de Mama, lui préfère se refugier derrière le silence pour fur ses responsabilités. Il n’a peut-être pas tort, car il est en mauvaise posture. Car jamais les Ivoiriens n’ont connu autant souffrance que sous l’ère Gbagbo. Aujourd’hui la paire délestage coupure d’eau accentue la souffrance. Et en lieu et place d’une réaction du président de la république, c’est plutôt l’indifférence que Gbagbo sert aux ivoiriens. Le revers de cette attitude ne peut être que le mécontentement du peuple.
Des manifestations à l’horizon
Le sentiment de colère monte au sein des populations. Elles en ont marre de ce Jong. Les ivoiriens n’attendent pas rester de marbre face à cette souffrance. Dans les différentes communes d’Abidjan et des villes de l’intérieur des sensibilisations seraient en train d’être mené pour des manifestations de mécontentement. la fièvre qui va monter risquerait de faire tâche d’huile. Des jours chauds pointent donc à l’horizon.
JN
