Annoncé à grandes pompes médiatiques, le débat Anouma face à la presse le samedi 27 Février 2010 aura été un flop ! Tant cette rencontre tant attendue a accouché d’une souris.
Sélectionnés depuis le Mardi 23 Février 2010 par la RTI, nombreux ont été les ivoiriens qui sont restés sur leur faim. « Ce ne sont pas les résultats qui m’intéressent… c’est plutôt la cohésion de l’équipe nationale… » « Que nos joueurs soient les plus forts du monde, ça, je ne sais pas… Et je suis prêt à aller voir les joueurs individuellement dans leurs chambres s’il le faut». Quel dommage ! Et pourtant, les grandes Nations de football au monde, telles le Ghana, le Cameroun, le Brésil, la France, l’Italie, l’Allemagne… jouent pour un résultat, la victoire. Seuls les résultats comptent. D’ailleurs, on ne va pas en guerre en victime résignée. Si les résultats ne comptent pas pour Anouma, pourquoi mobilise-t-il autant de sous de la part du contribuable, cette grande muette et narguer le Président de la République en lui promettant la coupe d’Afrique. Fuyant les questions de certains journalistes et autres invités qui ont réussi à passer les mailles de la fameuse sélection orchestrée par la RTI pour piper les dés, Anouma comme à son habitude a perdu son latin. A la question de savoir pourquoi Eboué a-t-il rabroué Ouattara Ahmed, l’un des responsables de l’encadrement technique, Anouma a exigé du journaliste un étalage public pour égrener les énormités d’Eboué. Un exemple parmi tant d’autres. Chose que notre confrère a décliné poliment par pudeur. Balayant du revers de la main toute autre question relative à une quelconque remise en cause de sa personne en tant que Président de la FIF, Anouma a préféré jeter l’opprobre sur Vahid, devenu par sa faute le mouton de sacrifice du football ivoirien. Oubliant du coup les turpitudes de ses sbires du même acabit. Et Confirmant l’adage populaire selon lequel, pour se débarrasser de son chien, on l’accuse de rage. Anouma obstiné à garder vaille que vaille son fauteuil de président de la FIF trouve un bouc émissaire en la personne de Vahid. Les ivoiriens ne pouvaient pas s’attendre à mieux que le renvoie sine die de l’entraineur. Etait-il nécessaire, après cette débâcle musclée des Eléphants à Cabinda pour Anouma de se retirer en Europe avec encore l’argent du contribuable ivoirien et des sociétés citoyennes pour prendre une telle décision ? Décision à laquelle tous les ivoiriens sont habitués depuis belle lurette. Soyons sérieux et qu’on arrête de se moquer des Ivoiriens.
Athanase Zéga
Sélectionnés depuis le Mardi 23 Février 2010 par la RTI, nombreux ont été les ivoiriens qui sont restés sur leur faim. « Ce ne sont pas les résultats qui m’intéressent… c’est plutôt la cohésion de l’équipe nationale… » « Que nos joueurs soient les plus forts du monde, ça, je ne sais pas… Et je suis prêt à aller voir les joueurs individuellement dans leurs chambres s’il le faut». Quel dommage ! Et pourtant, les grandes Nations de football au monde, telles le Ghana, le Cameroun, le Brésil, la France, l’Italie, l’Allemagne… jouent pour un résultat, la victoire. Seuls les résultats comptent. D’ailleurs, on ne va pas en guerre en victime résignée. Si les résultats ne comptent pas pour Anouma, pourquoi mobilise-t-il autant de sous de la part du contribuable, cette grande muette et narguer le Président de la République en lui promettant la coupe d’Afrique. Fuyant les questions de certains journalistes et autres invités qui ont réussi à passer les mailles de la fameuse sélection orchestrée par la RTI pour piper les dés, Anouma comme à son habitude a perdu son latin. A la question de savoir pourquoi Eboué a-t-il rabroué Ouattara Ahmed, l’un des responsables de l’encadrement technique, Anouma a exigé du journaliste un étalage public pour égrener les énormités d’Eboué. Un exemple parmi tant d’autres. Chose que notre confrère a décliné poliment par pudeur. Balayant du revers de la main toute autre question relative à une quelconque remise en cause de sa personne en tant que Président de la FIF, Anouma a préféré jeter l’opprobre sur Vahid, devenu par sa faute le mouton de sacrifice du football ivoirien. Oubliant du coup les turpitudes de ses sbires du même acabit. Et Confirmant l’adage populaire selon lequel, pour se débarrasser de son chien, on l’accuse de rage. Anouma obstiné à garder vaille que vaille son fauteuil de président de la FIF trouve un bouc émissaire en la personne de Vahid. Les ivoiriens ne pouvaient pas s’attendre à mieux que le renvoie sine die de l’entraineur. Etait-il nécessaire, après cette débâcle musclée des Eléphants à Cabinda pour Anouma de se retirer en Europe avec encore l’argent du contribuable ivoirien et des sociétés citoyennes pour prendre une telle décision ? Décision à laquelle tous les ivoiriens sont habitués depuis belle lurette. Soyons sérieux et qu’on arrête de se moquer des Ivoiriens.
Athanase Zéga