Mme Ouattara Maïmouna, membre du DEF du CNI
Il est important aujourd'hui de parler de programme car certain objectifs doivent être atteints surtout quant il s'agit de l'éducation islamique. Autant nous préparons nos enfants au temporel autant les préparés au spirituel.
Il existe quelques difficultés car nous avons affaire a deux types de formateurs. Pour l'instant, nous sommes dans la phase de production des programmes et pour la mise en œuvre il va falloir faire des formations. Nous nous mettons dans la mouvance du programme en vigueur au niveau national puisque partout on parle de formation par compétence, nous allons essayer d'adapter notre programme islamique a cette nouvelle approche et nous attendons les fruits.
M. Hema Ibrahim, membre du DEF
Nos invités sont constitués d'hommes et de femmes qui s'intéressent à l'islam, des gens qui sont dans le domaine de l'éducation qui soit venu des quatre coins du pays. Nous attendons de mettre un programme islamique sur pied. Un programme qui débouchera sur l'édition de livres pour nous permettre d'harmoniser nos programmes avec ceux du ministère de l'éducation nationale parce que nous sommes à la recherche de l'excellence. Pour que nos diplômes soient reconnus il faut être dans le mode de l'éducation nationale. Nous travaillons selon les principes du système éducatif et nous avons aussi des principes que nous voulons respecter pour que nos diplômes puissent être reconnus. Plusieurs paramètres sont pris en compte pour que les cours soient compris plus facilement par les apprenants, il s'agit de l'âge, la possibilité et les capacités.
Mr Sanogo Ali membre du DEF
Nous avons pu garantir un acte des objectifs concernant l'éducation. Il fallait confectionner les documents conformément aux exigences du ministère de l'éducation nationale, la nouvelle méthode qui est en cours notamment la formation par compétence raison pour laquelle nous avons invité les frères et sœurs pour la finalisation du document. Il s'agit d'amener nos écoles confessionnelles a une reconnaissance de la part de l'Etat. Pour cela il faut reprendre le programme et le contenu doit être conforme aux normes de l'Etat. Nos écoles sont ouvertes a toute les confessions (musulmane, laïc, chrétienne) c'est vraiment une ouverture.
Imam Hassan Coulibaly éducateur spécialisé (Participant)
Ce séminaire est la bienvenue car, il permettra d'élaborer et traiter comment adapter l'enseignement islamique au programme officiel. Je félicite le CNI pour l'organisation de ce séminaire qui contribue à l'évolution de l'islam et de l'éducation en Côte d'Ivoire. Cela va permettre de faciliter l'intégration des élèves qui apprennent l'enseignement religieux au monde, a l'ouverture, aux valeurs morales, aux valeurs du pays. L'islam est une religion d'ouverture et universelle donc l'enseignement religieux et l'enseignement académique sontune complémentarité. Comme on le dit bien « sciences sans conscience n'est ruine de l'âme » donc l'enseignement laïc est la science et la conscience est l'enseignement islamique. L'apprenant musulman qui aura ses deux compétences pourra mieux s'intégrer dans la société, etmieux pratiquer sa religion et d'être ouvert en harmonie avec la société et ALLAH (SWt) Puisse que nous serons dans l'enseignement par compétence, le savoir ne sera pas seulement théorique mais aussi pratique, l'apprenant assimilera sans grande difficulté et verra ainsi sa compétence, sa compétitivité avec une grande différence de ceux du laïc en terme de valeur morale, de compétence, de comportement etc.
Konaté
Il est important aujourd'hui de parler de programme car certain objectifs doivent être atteints surtout quant il s'agit de l'éducation islamique. Autant nous préparons nos enfants au temporel autant les préparés au spirituel.
Il existe quelques difficultés car nous avons affaire a deux types de formateurs. Pour l'instant, nous sommes dans la phase de production des programmes et pour la mise en œuvre il va falloir faire des formations. Nous nous mettons dans la mouvance du programme en vigueur au niveau national puisque partout on parle de formation par compétence, nous allons essayer d'adapter notre programme islamique a cette nouvelle approche et nous attendons les fruits.
M. Hema Ibrahim, membre du DEF
Nos invités sont constitués d'hommes et de femmes qui s'intéressent à l'islam, des gens qui sont dans le domaine de l'éducation qui soit venu des quatre coins du pays. Nous attendons de mettre un programme islamique sur pied. Un programme qui débouchera sur l'édition de livres pour nous permettre d'harmoniser nos programmes avec ceux du ministère de l'éducation nationale parce que nous sommes à la recherche de l'excellence. Pour que nos diplômes soient reconnus il faut être dans le mode de l'éducation nationale. Nous travaillons selon les principes du système éducatif et nous avons aussi des principes que nous voulons respecter pour que nos diplômes puissent être reconnus. Plusieurs paramètres sont pris en compte pour que les cours soient compris plus facilement par les apprenants, il s'agit de l'âge, la possibilité et les capacités.
Mr Sanogo Ali membre du DEF
Nous avons pu garantir un acte des objectifs concernant l'éducation. Il fallait confectionner les documents conformément aux exigences du ministère de l'éducation nationale, la nouvelle méthode qui est en cours notamment la formation par compétence raison pour laquelle nous avons invité les frères et sœurs pour la finalisation du document. Il s'agit d'amener nos écoles confessionnelles a une reconnaissance de la part de l'Etat. Pour cela il faut reprendre le programme et le contenu doit être conforme aux normes de l'Etat. Nos écoles sont ouvertes a toute les confessions (musulmane, laïc, chrétienne) c'est vraiment une ouverture.
Imam Hassan Coulibaly éducateur spécialisé (Participant)
Ce séminaire est la bienvenue car, il permettra d'élaborer et traiter comment adapter l'enseignement islamique au programme officiel. Je félicite le CNI pour l'organisation de ce séminaire qui contribue à l'évolution de l'islam et de l'éducation en Côte d'Ivoire. Cela va permettre de faciliter l'intégration des élèves qui apprennent l'enseignement religieux au monde, a l'ouverture, aux valeurs morales, aux valeurs du pays. L'islam est une religion d'ouverture et universelle donc l'enseignement religieux et l'enseignement académique sontune complémentarité. Comme on le dit bien « sciences sans conscience n'est ruine de l'âme » donc l'enseignement laïc est la science et la conscience est l'enseignement islamique. L'apprenant musulman qui aura ses deux compétences pourra mieux s'intégrer dans la société, etmieux pratiquer sa religion et d'être ouvert en harmonie avec la société et ALLAH (SWt) Puisse que nous serons dans l'enseignement par compétence, le savoir ne sera pas seulement théorique mais aussi pratique, l'apprenant assimilera sans grande difficulté et verra ainsi sa compétence, sa compétitivité avec une grande différence de ceux du laïc en terme de valeur morale, de compétence, de comportement etc.
Konaté
