La grande première de La Malice des hommes, c'était vendredi dernier, au Palais de la culture.
Le Palais de la culture de Treichville avait vendredi dernier, en grande première, La malice des hommes, pièce de théâtre de l'éminent professeur burkinabé, Jean-Pierre Guingane. Pour une première présentation, la pièce a fait salle comble. Les Ivoiriens sont venus de tous les quartiers d'Abidjan pour voir cette pièce de théâtre. Déjà à 20 heures, la salle Kodjo Ebouclé du Palais de la culture affichait complet et fermée. Des personnes venues en retard sont retournées chez elles. L'excellence, le nom du personnage principal de la pièce puisque c'est de lui qu'il est question dans cette pièce, commence son histoire dans une église où il tombe amoureux d'une fille. La conquête de cette fille va le conduire à la violence et au sommet de l'Etat. A l'élection présidentielle, il se fait tomber par sa nièce contre qui il ne peut agir sans attirer le malheur. Puisqu'elle est aussi d'essence totémique panthère. Face à cette situation symbolique, certes la fin d'un règne, mais aussi l'ouverture vers une ère nouvelle d'espérance pour son peuple. A travers La malice des hommes, Jean-Pierre Guingane interpelle toute la conscience africaine et plus encore celle des Ivoiriens, sur la tribulation infernale que vit l'Afrique noire à l'heure du passage à la démocratie vraie. C'est aussi pour lui l'éveil de la responsabilité de l'Ivoirien. Car Bintou avait fait le choix de prendre la carte de membre du Mouvement. L'habitude de son Excellence, c'est aussi les comportements que tout Ivoirien peut avoir dans les entreprises, dans une association et bien d'autres situations que cette pièce met à nu. En appelant au changement de mentalité pour aller vers le développement. Cette pièce qui a pris fin autour de 21 heures 20 minutes, a réuni de grandes personnalités de la culture dont le professeur Bernard Zadi Zaourou, le ministre de la Culture et de la Francophonie, Anzoumana Moutayé et l'auteur de l'œuvre, le professeur Jean-Pierre Guingane. " Je suis très heureux de la mise en scène de cette pièce. Je crois que j'ai été bien entendu ", a confié le professeur Guingane.
Renaud Djatchi
Le Palais de la culture de Treichville avait vendredi dernier, en grande première, La malice des hommes, pièce de théâtre de l'éminent professeur burkinabé, Jean-Pierre Guingane. Pour une première présentation, la pièce a fait salle comble. Les Ivoiriens sont venus de tous les quartiers d'Abidjan pour voir cette pièce de théâtre. Déjà à 20 heures, la salle Kodjo Ebouclé du Palais de la culture affichait complet et fermée. Des personnes venues en retard sont retournées chez elles. L'excellence, le nom du personnage principal de la pièce puisque c'est de lui qu'il est question dans cette pièce, commence son histoire dans une église où il tombe amoureux d'une fille. La conquête de cette fille va le conduire à la violence et au sommet de l'Etat. A l'élection présidentielle, il se fait tomber par sa nièce contre qui il ne peut agir sans attirer le malheur. Puisqu'elle est aussi d'essence totémique panthère. Face à cette situation symbolique, certes la fin d'un règne, mais aussi l'ouverture vers une ère nouvelle d'espérance pour son peuple. A travers La malice des hommes, Jean-Pierre Guingane interpelle toute la conscience africaine et plus encore celle des Ivoiriens, sur la tribulation infernale que vit l'Afrique noire à l'heure du passage à la démocratie vraie. C'est aussi pour lui l'éveil de la responsabilité de l'Ivoirien. Car Bintou avait fait le choix de prendre la carte de membre du Mouvement. L'habitude de son Excellence, c'est aussi les comportements que tout Ivoirien peut avoir dans les entreprises, dans une association et bien d'autres situations que cette pièce met à nu. En appelant au changement de mentalité pour aller vers le développement. Cette pièce qui a pris fin autour de 21 heures 20 minutes, a réuni de grandes personnalités de la culture dont le professeur Bernard Zadi Zaourou, le ministre de la Culture et de la Francophonie, Anzoumana Moutayé et l'auteur de l'œuvre, le professeur Jean-Pierre Guingane. " Je suis très heureux de la mise en scène de cette pièce. Je crois que j'ai été bien entendu ", a confié le professeur Guingane.
Renaud Djatchi