Du mardi 23 au jeudi 26 mars dernier, la DREN (Direction Régionale de l’Education Nationale) de Bouaké, en collaboration avec le SAPEP (Service Autonome pour la promotion de l`Enseignement Privé), a organisé des examens blancs pour préparer les élèves à mieux aborder les vrais examens à venir. Selon les organisateurs desdites épreuves, ils l`ont fait pour éviter des résultats catastrophiques comme l`année dernière. Seulement, il n`y a que les établissements privés de la vallée du Bandama qui sont concernés. C`est pour s`imprégner de la réalité du terrain que le Secrétaire Général de la DREN, Silué Gozié et le correspondant régional du SAPEP, par ailleurs, coordonnateur des établissements privés dans la vallée du Bandama, Kandé Amadou, ont conduit une délégation dans les centres d`examens pour encourager les différents candidats. Aux collèges Adventistes et Bambi, ce sont 558 candidats qui composent au BAC et au BEPC. Soit 215 candidat pour le BEPC et 343 pour le BAC. A l’Institut Ouézzin Coulibaly, ils sont au nombre de 424 candidats au BAC et 264 au BEPC. "15 établissements privés sur 25 ont accepté de participer à ces examens blancs" a affirmé Kandé Amadou. Après avoir prodigué quelques conseils aux candidats, le secrétaire général de la DREN a expliqué à la presse les raisons de ces examens blancs. « Depuis un certain nombre d’années, les résultats des examens sont catastrophiques. Aujourd’hui, notre leitmotiv, c’est la gestion des résultats », a dit Silué Gozié. A en croire Kandé Amadou, correspondant du SAPEP à Bouaké, leur mission « c’est de redynamiser le secteur de l’enseignement privé ; je suis arrivé à la tête de ce département depuis l’année dernière et cette année nous avons pu organiser ces examens ». Et il a poursuivi pour donner les buts recherchés : «l’objectif qu’on m’a fixé, c’est de redynamiser le secteur de
l’enseignement privé et nous avons mis en place un plan d’action et une matrice d’activité et l’exécution de cette matrice d’activité nous amène à organiser un examen blanc. Il faut pouvoir évaluer les enfants à un moment donné. On est dans la gestion axée sur les résultats. On sort de la gestion axée sur les activités pour passer à la gestion axée sur les résultats. En fin d’année 2010, il faut que nous ayons au moins 70 % de réussite au BEPC et 85 % au BAC», a-t-il conclu.
TRAORE MOUSSA
(Correspondant à Bouaké)
l’enseignement privé et nous avons mis en place un plan d’action et une matrice d’activité et l’exécution de cette matrice d’activité nous amène à organiser un examen blanc. Il faut pouvoir évaluer les enfants à un moment donné. On est dans la gestion axée sur les résultats. On sort de la gestion axée sur les activités pour passer à la gestion axée sur les résultats. En fin d’année 2010, il faut que nous ayons au moins 70 % de réussite au BEPC et 85 % au BAC», a-t-il conclu.
TRAORE MOUSSA
(Correspondant à Bouaké)