Décidément, de nombreux conseillers et personnalités qui pullulent au Palais présidentiel n'ont aucune compassion pour le chef de l'Etat, Laurent Gbagbo. Qui vient d'être encore gruger dans une affaire d'achat d'avion présidentiel dont le coût est estimé à plus de 13 milliards. Pour un avion de seconde main. Notre enquête.
Révélée par un magazine d'informations confidentielles dans son édition n° 583, cette curieuse affaire d'achat d'avion de seconde main à 13 milliards a aiguisé les appétits voraces de certains confrères. Qui se sont vite précipités pour la répandre comme une trainée de poudre avec toutes sortes de commentaires selon la chapelle politique qui les dirige avant d'être confirmée par le même magazine dans sa parution n° 584 du 18 Mars dernier sous le titre " Oh mon beau pays ". Autant il est vrai que la situation financière du pays ne prête pas à une telle dépense, autant tous, nous savons que la flotte présidentielle ivoirienne est en panne de ses grumans. C'est donc fort de cette situation qui porte un discrédit sur la Côte d'Ivoire, reconnue pays phare de la sous région, que le Président Laurent Gbagbo a pensé faire acquérir à son pays, un nouvel avion. Seulement, n'étant pas expert en aviation et management commercial, celui-ci a confié ce projet d'achat d'aéronef, à des conseillers et autres techniciens experts en la matière. Qui, eux, malheureusement, ne seront pas les personnes indiquées. Tant ceux-ci ont décidé de ne pas jouer franc jeu avec leur bienfaiteur qu'est le Président Laurent Gbagbo.
En effet, dans cette scabreuse affaire qui pue la marmaille et l'affairisme désobligeant au sommet de l'Etat, des conseillers et non des moindres ont réussi à user de subterfuges pour tromper une fois de plus le Chef de l'Etat Laurent Gbagbo. Qui, en optant pour le renouvellement de son aéronef, vu la vétusté des grumans présidentiels, a commis l'erreur de confier cette priorité à certains de ses conseillers. Et comment ?
Tout simplement à l'amenant à débourser la bagatelle de 13 milliards de nos francs, soit 20 millions d'Euros et quatre (04) autres millions d'Euros pour les démarcheurs. Lesquels démarcheurs, qui, en réalité ne sont que les conseillers dont nous taisons les noms par mesure de sécurité suite aux menaces auxquelles nous avons été sujets en voulant équilibrer l'information. Cet avion hyper luxueux de la maison de construction Falcon est du modèle Falcon 900 comprenant entre 12 et 14 places, est selon nos conseillers démarcheurs, un spécimen spécialement conçu et personnalisé pour les chefs d'Etat et leur sécurité. Mieux, toujours selon ces derniers, le Falcon 900 acheté à 13 milliards a les mêmes caractéristiques que l'avion présidentiel américain Us Air force One. Des fadaises grotesques qui ont fini par convaincre le président Gbagbo. Alors qu'en réalité, il s'agissait d'une surfacturation bien orchestrée pour mettre en mal le pouvoir de l'actuel chef de l'Etat. Surtout qu'il se trouve que c'est un avion de seconde main que l'homme de rue appelle communément wôrô-wôrô ou France au revoir. Et qui aux dernières nouvelles, sera livré à la présidence ivoirienne, dans le mois de Juin 2010 afin de faire oublier l'humiliation que le chef de l'Etat a connu lors de son dernier voyage au Burkina Faso. Déplacement au cours duquel, le dernier vivant de nos grumans présidentiels a rendu l'âme. Qui, tout aussi curieux que cela puisse paraître, a émerveillé l'opposition ivoirienne qui en fait un choux gras faisant fi ainsi de tout patriotisme.
Au delà de l'achat de ce Falcon 900 à la rondelette somme de 13 milliards, il faut voir comment des personnes ont décidé de fragiliser et briser par la suite le pouvoir de Laurent Gbagbo. Ce depuis son accession à la magistrature suprême. Démontrant ainsi que ses vrais ennemis se comptent au sein de son pouvoir. Des ennemis qui ne sont pas prêts à lâcher prise tant que le numéro un ivoirien ne chute pas. C'est ça aussi la refondation, où l'intérêt privé prime sur le général.
Sylvain Bossiehi
Révélée par un magazine d'informations confidentielles dans son édition n° 583, cette curieuse affaire d'achat d'avion de seconde main à 13 milliards a aiguisé les appétits voraces de certains confrères. Qui se sont vite précipités pour la répandre comme une trainée de poudre avec toutes sortes de commentaires selon la chapelle politique qui les dirige avant d'être confirmée par le même magazine dans sa parution n° 584 du 18 Mars dernier sous le titre " Oh mon beau pays ". Autant il est vrai que la situation financière du pays ne prête pas à une telle dépense, autant tous, nous savons que la flotte présidentielle ivoirienne est en panne de ses grumans. C'est donc fort de cette situation qui porte un discrédit sur la Côte d'Ivoire, reconnue pays phare de la sous région, que le Président Laurent Gbagbo a pensé faire acquérir à son pays, un nouvel avion. Seulement, n'étant pas expert en aviation et management commercial, celui-ci a confié ce projet d'achat d'aéronef, à des conseillers et autres techniciens experts en la matière. Qui, eux, malheureusement, ne seront pas les personnes indiquées. Tant ceux-ci ont décidé de ne pas jouer franc jeu avec leur bienfaiteur qu'est le Président Laurent Gbagbo.
En effet, dans cette scabreuse affaire qui pue la marmaille et l'affairisme désobligeant au sommet de l'Etat, des conseillers et non des moindres ont réussi à user de subterfuges pour tromper une fois de plus le Chef de l'Etat Laurent Gbagbo. Qui, en optant pour le renouvellement de son aéronef, vu la vétusté des grumans présidentiels, a commis l'erreur de confier cette priorité à certains de ses conseillers. Et comment ?
Tout simplement à l'amenant à débourser la bagatelle de 13 milliards de nos francs, soit 20 millions d'Euros et quatre (04) autres millions d'Euros pour les démarcheurs. Lesquels démarcheurs, qui, en réalité ne sont que les conseillers dont nous taisons les noms par mesure de sécurité suite aux menaces auxquelles nous avons été sujets en voulant équilibrer l'information. Cet avion hyper luxueux de la maison de construction Falcon est du modèle Falcon 900 comprenant entre 12 et 14 places, est selon nos conseillers démarcheurs, un spécimen spécialement conçu et personnalisé pour les chefs d'Etat et leur sécurité. Mieux, toujours selon ces derniers, le Falcon 900 acheté à 13 milliards a les mêmes caractéristiques que l'avion présidentiel américain Us Air force One. Des fadaises grotesques qui ont fini par convaincre le président Gbagbo. Alors qu'en réalité, il s'agissait d'une surfacturation bien orchestrée pour mettre en mal le pouvoir de l'actuel chef de l'Etat. Surtout qu'il se trouve que c'est un avion de seconde main que l'homme de rue appelle communément wôrô-wôrô ou France au revoir. Et qui aux dernières nouvelles, sera livré à la présidence ivoirienne, dans le mois de Juin 2010 afin de faire oublier l'humiliation que le chef de l'Etat a connu lors de son dernier voyage au Burkina Faso. Déplacement au cours duquel, le dernier vivant de nos grumans présidentiels a rendu l'âme. Qui, tout aussi curieux que cela puisse paraître, a émerveillé l'opposition ivoirienne qui en fait un choux gras faisant fi ainsi de tout patriotisme.
Au delà de l'achat de ce Falcon 900 à la rondelette somme de 13 milliards, il faut voir comment des personnes ont décidé de fragiliser et briser par la suite le pouvoir de Laurent Gbagbo. Ce depuis son accession à la magistrature suprême. Démontrant ainsi que ses vrais ennemis se comptent au sein de son pouvoir. Des ennemis qui ne sont pas prêts à lâcher prise tant que le numéro un ivoirien ne chute pas. C'est ça aussi la refondation, où l'intérêt privé prime sur le général.
Sylvain Bossiehi