Le règlement n°07/ 2009 /CM/ UEMOA portant réglementation de la mutualité sociale au sein de l’UEMOA (Union monétaire ouest africaine) rentrera en vigueur à compter du 1er juillet 2011. Avant la date ‘’fatidique’’, le ministère de la famille, de la femme et des affaires sociales a entrepris de former les associations sur l’application de ce règlement communautaire. C’est dans ce cadre qu’il a organisé le jeudi 15 avril 2010, dans les locaux du bureau international du travail (BIT), au Plateau, un atelier d’information sur ce règlement communautaire régissant la mutualité social dans l’espace UEMOA. A l’ouverture des travaux qui ont duré une journée, la ministre des affaires sociales, Jeanne Pheumond a exprimé sa joie de l’organisation d’une telle rencontre. Ce nouveau règlement selon elle, permettra la prise en charge d’une bonne frange de la population, essentiellement composée d’agriculteurs, d’artisans et de travailleurs du secteur informel, exclue du système de sécurité sociale. Un problème dû à la faiblesse du système de sécurité social ivoirien. Pour le ministre Peuhmond, « les mutuelles qui sont des associations libres de personnes, basées sur le principe de la solidarité et qui visent à assurer la protection de leurs adhérents contre les risques sociaux, constituent une alternative efficace pour venir à bout de cette exclusion ». C’est pourquoi, elle a invités ces associations à s’approprier ce règlement mettra de l’ordre dans le secteur.
Notons que l’atelier avait pour objectif général de préparer les acteurs de la mutualité à l’entrée en vigueur de ce règlement.
Dao Maïmouna
Tracasserie
Des policiers battent à sang un Burkinabé et empochent ses deux portables
Visage boursouflé, paupière gauche fendue. M Kieme Augunstin tient difficilement sur ses pieds. Il a été sérieusement bastonné, hier nuit par des éléments de la police qui étaient en patouille aux deux plateaux non loin du petit marché. Son peché d’avoir possédé un certificat de résidence qui n’est plus en cours de validé. « Ces policiers éteint arrêtés non loin de mon magasin et je venais de garer ma moto. Ils m’ont intimé l’’ordre de venir et je me suis exécuté .Ils m’ont demandé les pièces afférentes à la moto et le leur ai remis. Ensuite ils m’ont demandé de leur présenter ma carte consulaire du Burkiné Faso, après il a demandé à voir ma certificat de résidence. Malheureusement ce document n’est plus en cours de validité. Ils ont empoché mes pièces. »a expliqué M. Kiema. Selon lui, quand il a demandé de lui délivrer un papillon pour pouvoir entrée en possession de ces documents le lendemain, ces derniers l’auraient injurié sa génitrice. Et il n’est suivi une bagarre. Les trois policiers l’ont copieusement battu à sang. Tant entendu que les badauds affluaient de partout, ces hommes en tenu ont fait tonner leur arme pour disperser la foule. « Ils ont appelé en renfort des éléments du Cecos qui sont venus à bord des véhicules N°49 et 43. Ces derniers voulaient me m’amener de force. Mais j’ai eu la vie sauve grâce à la détermination de la population » a fait remarquer Kiema Augustin. Précisant que les policiers ont empoché ses deux portables somme de 100.000 FCFA. Il est bon de noter que les frères de la victime qui sont aller porté plainte au commissariat du 12ème de cocody ont arrêté et jeté en prison AC
Notons que l’atelier avait pour objectif général de préparer les acteurs de la mutualité à l’entrée en vigueur de ce règlement.
Dao Maïmouna
Tracasserie
Des policiers battent à sang un Burkinabé et empochent ses deux portables
Visage boursouflé, paupière gauche fendue. M Kieme Augunstin tient difficilement sur ses pieds. Il a été sérieusement bastonné, hier nuit par des éléments de la police qui étaient en patouille aux deux plateaux non loin du petit marché. Son peché d’avoir possédé un certificat de résidence qui n’est plus en cours de validé. « Ces policiers éteint arrêtés non loin de mon magasin et je venais de garer ma moto. Ils m’ont intimé l’’ordre de venir et je me suis exécuté .Ils m’ont demandé les pièces afférentes à la moto et le leur ai remis. Ensuite ils m’ont demandé de leur présenter ma carte consulaire du Burkiné Faso, après il a demandé à voir ma certificat de résidence. Malheureusement ce document n’est plus en cours de validité. Ils ont empoché mes pièces. »a expliqué M. Kiema. Selon lui, quand il a demandé de lui délivrer un papillon pour pouvoir entrée en possession de ces documents le lendemain, ces derniers l’auraient injurié sa génitrice. Et il n’est suivi une bagarre. Les trois policiers l’ont copieusement battu à sang. Tant entendu que les badauds affluaient de partout, ces hommes en tenu ont fait tonner leur arme pour disperser la foule. « Ils ont appelé en renfort des éléments du Cecos qui sont venus à bord des véhicules N°49 et 43. Ces derniers voulaient me m’amener de force. Mais j’ai eu la vie sauve grâce à la détermination de la population » a fait remarquer Kiema Augustin. Précisant que les policiers ont empoché ses deux portables somme de 100.000 FCFA. Il est bon de noter que les frères de la victime qui sont aller porté plainte au commissariat du 12ème de cocody ont arrêté et jeté en prison AC
