La côte d’ivoire fait partie des pays les plus chers au monde. L’information a été rendue publique par le cabinet MERCER, l’un des leaders mondiaux en conseil en ressources humaines, et relayée par la presse locale. Cette étude est avérée, avec le niveau de vie qui a grimpé de façon exponentielle en dix ans. La hausse du carburant, les taxes de plus en plus élevées ont pour corollaire la cherté de la vie. Toutes choses qui profitent à une poignée de personnes. Pendant que les ivoiriens broient du noir du fait des difficultés socio économiques, ces « politiciens intellos » eux, roulent carrosse , festoient et narguent les populations. D’ailleurs, la crise que traverse le pays n’est que la conséquence directe de leur apprentissage dans la gestion des affaires de l’état. Ils tirent des dividendes dans cet enfer économique dans lequel vivent les Ivoiriens. Il faut avoir le courage de le dire ; dans l’empire des frontistes, chacun a bâti sa fortune en un temps record. Les bâtisses ritulentes qui sortent de terre en cette période de vache maigre et la richesse que ces professeurs frontistes affichent de façon ostentatoire en disent long sur les mannes qu’ils se seraient offertes sur le dos des populations à travers les revenus de la vente de l’or noir et les nombreuses taxes. Les populations se meurent à cause de la crise financière qui est devenue intenable. Aujourd’hui la vie s’est arrêtée en terre d’Eburnie parce que les transporteurs observent un arrêt de travail. Ils protestent contre le prix excessif du carburant. Et pourtant le président Gbagbo annonçait récemment à Yamoussoukro que les revenus du pétrole lui permettent de réaliser les travaux d’intérêt public sans emprunter de l’argent à une banque. Les ivoiriens s’expliquent alors difficilement pourquoi le prix du carburant ivoirien est le plus cher en Afrique. Mais de plus en plus les ivoiriens se convainquent que cette augmentation à la vitesse supérieure du carburant et même de la vie, cache des manœuvres des socialistes ivoiriens pour s’enrichir. L’histoire retiendra que sous la refondation les populations ont vécu dans la géhenne.
JN
JN
