Après près d’une semaine, les nuages de cendres volcaniques, qui ont enveloppé le ciel européen, commencent à lâcher prise. Ils s’amoncellent au grand bonheur des compagnies aériennes. La colère du volcan islandais «Eyjafjallajökull» commence à s’estomper.
Hier, les ministres des Transports de l’Union européenne ont annoncé la normalisation de la situation pour jeudi. Ils se sont mis d’accord pour rouvrir progressivement les aéroports. La France a annoncé l’ouverture de ses aéroports du sud du pays pour ce matin.
Celui de Lyon a même rouvert, hier. Des vols pourront donc partir de ces aéroports, parmi lesquels, ceux de Bordeaux et de Nice. En Angleterre, premier pays à fermer ses aéroports, dès la montée des nuages de cendres, jeudi dernier, a aussi annoncé l’ouverture de certains de ses aéroports. Ainsi la fin du calvaire de ces milliers de voyageurs qui ont passé des nuits dans les aéroports, s’annonce enfin.
Au moment où l’on commence à parler de reprise du trafic aérien paralysé pendant cinq jours, l’heure est au bilan des conséquences de «cette catastrophe aéro-nuageuse». Ce sont plus de 63 mille vols qui ont été annulés. On parle de plus d’un milliard d’euros (656 milliards de francs Cfa) que l’industrie du transport aérien européen aurait perdu. Air France, par exemple, a perdu 35 millions d’euros (près de 23 milliards de francs Cfa).
La pilule est si difficile à avalée que certaines compagnies se demandent si les autorités européennes n’en ont pas fait trop, en interdisant totalement les vols.
En Côte d’Ivoire, le seul vrai signe de cette catastrophe naturelle est la présence d’un avion de Air France sur le tarmac de l’aéroport Félix Houphouet-Boigny. Cet avion est cloué là depuis jeudi. Pendant les cinq jours, l’aéroport n’a pas enregistré le vol quotidien de cette compagnie. La compagnie nationale Air Ivoire qui a une ligne sur la France n’a pas été particulièrement affectée, selon un de ses responsables.
A H
Hier, les ministres des Transports de l’Union européenne ont annoncé la normalisation de la situation pour jeudi. Ils se sont mis d’accord pour rouvrir progressivement les aéroports. La France a annoncé l’ouverture de ses aéroports du sud du pays pour ce matin.
Celui de Lyon a même rouvert, hier. Des vols pourront donc partir de ces aéroports, parmi lesquels, ceux de Bordeaux et de Nice. En Angleterre, premier pays à fermer ses aéroports, dès la montée des nuages de cendres, jeudi dernier, a aussi annoncé l’ouverture de certains de ses aéroports. Ainsi la fin du calvaire de ces milliers de voyageurs qui ont passé des nuits dans les aéroports, s’annonce enfin.
Au moment où l’on commence à parler de reprise du trafic aérien paralysé pendant cinq jours, l’heure est au bilan des conséquences de «cette catastrophe aéro-nuageuse». Ce sont plus de 63 mille vols qui ont été annulés. On parle de plus d’un milliard d’euros (656 milliards de francs Cfa) que l’industrie du transport aérien européen aurait perdu. Air France, par exemple, a perdu 35 millions d’euros (près de 23 milliards de francs Cfa).
La pilule est si difficile à avalée que certaines compagnies se demandent si les autorités européennes n’en ont pas fait trop, en interdisant totalement les vols.
En Côte d’Ivoire, le seul vrai signe de cette catastrophe naturelle est la présence d’un avion de Air France sur le tarmac de l’aéroport Félix Houphouet-Boigny. Cet avion est cloué là depuis jeudi. Pendant les cinq jours, l’aéroport n’a pas enregistré le vol quotidien de cette compagnie. La compagnie nationale Air Ivoire qui a une ligne sur la France n’a pas été particulièrement affectée, selon un de ses responsables.
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