La lutte acharnée contre le grand banditisme dans la sous-préfecture de Méagui par le commandant de brigade de ladite sous-préfecture, l’adjudant Kéita Mamadou, continue de donner des résultats.
En effet, ses éléments viennent de mettre la main sur plus de 3.000 cartouches de fusil calibre 12 que des individus tentaient de faire passer par la ville de San Pedro. C’était dans la nuit du jeudi 29 avril dernier. Au dire du commandant de brigade de Méagui, l’adjudant Mamadou Kéita, tout est parti d’une information anonyme faisant état de ce que des individus, profitant de l’absence de poste de contrôle à Méagui, feraient passer des marchandises de tout genre : drogue, armes, munitions, produits pharmaceutiques prohibés et autres à destination de San Pedro. Exploitant cette information, l’adjudant Kéita et son équipe multiplient, depuis quelques semaines, les stratégies afin de mettre le grappin sur ces individus indélicats. C’est ainsi que, dans la nuit du jeudi 29 avril au cours d’un contrôle de routine, l’attention de ses éléments est attirée par un véhicule suspect qui a fait semblant de marquer un arrêt avant d’accélérer soudainement pour échapper aux forces de l’ordre. Dans la course-poursuite qui s’en suivit, le véhicule des trafiquants fait une sortie de route, obligeant ses occupants à l’abandonner en prenant la fuite. La fouille du véhicule abandonné a permis de découvrir 3.000 cartouches dans un sac de 50 kg et une petite valise. Le véhicule saisi et les munitions ont été mis à la disposition de la gendarmerie pour nécessité d’enquête, et les investigations se poursuivent pour démanteler ce réseau de délinquants qui menace l’économie de San Pedro. C’est le lieu de signaler qu’à cause de l’absence de poste de contrôle à Méagui, la ville est devenue une véritable passoire pour les trafiquants qui y déversent des produits prohibés en provenance de la Guinée et à destination de San Pedro.
K M Nadège à Soubré
En effet, ses éléments viennent de mettre la main sur plus de 3.000 cartouches de fusil calibre 12 que des individus tentaient de faire passer par la ville de San Pedro. C’était dans la nuit du jeudi 29 avril dernier. Au dire du commandant de brigade de Méagui, l’adjudant Mamadou Kéita, tout est parti d’une information anonyme faisant état de ce que des individus, profitant de l’absence de poste de contrôle à Méagui, feraient passer des marchandises de tout genre : drogue, armes, munitions, produits pharmaceutiques prohibés et autres à destination de San Pedro. Exploitant cette information, l’adjudant Kéita et son équipe multiplient, depuis quelques semaines, les stratégies afin de mettre le grappin sur ces individus indélicats. C’est ainsi que, dans la nuit du jeudi 29 avril au cours d’un contrôle de routine, l’attention de ses éléments est attirée par un véhicule suspect qui a fait semblant de marquer un arrêt avant d’accélérer soudainement pour échapper aux forces de l’ordre. Dans la course-poursuite qui s’en suivit, le véhicule des trafiquants fait une sortie de route, obligeant ses occupants à l’abandonner en prenant la fuite. La fouille du véhicule abandonné a permis de découvrir 3.000 cartouches dans un sac de 50 kg et une petite valise. Le véhicule saisi et les munitions ont été mis à la disposition de la gendarmerie pour nécessité d’enquête, et les investigations se poursuivent pour démanteler ce réseau de délinquants qui menace l’économie de San Pedro. C’est le lieu de signaler qu’à cause de l’absence de poste de contrôle à Méagui, la ville est devenue une véritable passoire pour les trafiquants qui y déversent des produits prohibés en provenance de la Guinée et à destination de San Pedro.
K M Nadège à Soubré