Tentants sont les poules et lapins!
Dans la nuit de jeudi à vendredi 2 avril, Touré Inza s’est introduit dans le poulailler de Mme Kamaté Awa pour faire main basse sur des poulets et lapins. Selon la victime, âgée de 70 ans, il ne se passait pas de nuit sans qu’elle ne soit la cible des voyous. « Lorsqu’elle a aperçu l’individu dans l’enclos, elle a crié au voleur. Il est sorti précipitamment du poulailler. Puis, il s’est mis à courir. Nous l’avons pris en chasse pour le rattraper un peu plus loin », explique Méité Syndou, l’un des poursuivants du voleur. Appréhendé puis conduit au 13ème arrondissement, à Abobo, celui-ci soutient qu’il n’avait pas l’intention de cambrioler les poules mais qu’il voulait s’assurer que la porte du poulailler était bien fermée. Cette argumentation, selon la victime, ne tient pas la route car, justifie-t-elle, Inza était bel et bien en train de voler ses poulets au moment où elle l’a vu. Touré Inza devra répondre des faits de tentative de vol au tribunal.
Un client pas comme les autres
Koné Djakaridja n’oubliera pas de si tôt la nuit du 27 mars à Abobo(Avocatier). Cette nuit-là, il transporte Aladji Ouattara dans son wôro-wôro à destination de derrière-pont. Arrivé au carrefour Agripac, Aladji demande au chauffeur de le laisser là. Il lui tend alors une pièce de 200Fcfa. « Me rudoyant à ma place de chauffeur, Aladji tire mon coffre à gangs pour prendre mes 40 mille Fcfa qui s’y trouvaient. Après son forfait, il a pris la fuite. Comme il y avait l’obscurité alors j’ai rebroussé chemin pour demander l’aide des vigiles. Ceux-ci ont mis la main sur lui », déclare Djakaridja lors de son audition au commissariat de police du 32ème arrondissement. L’indélicat client âgé de 36 ans qui se dit mécanicien nie avoir emprunté le taxi que conduisait le plaignant. « Je vous jure que ce n’est pas moi. Il s’est trompé de personne », se convainc-il. Mais la victime est formelle sur l’identité du voleur. Djakaridja pourra-t-il se tirer d’affaire ? Rendez-vous au tribunal.
Tu ne vas pas changer hein !
Les affaires lui collent à la peau. A peine sorti de prison pour abus de confiance portant sur la somme de 1.345.000 Fcfa, Gbé Olivier remet le couvert. Cette fois-ci, il roule dans la farine son employeur et disparaît avec la somme de 384.245Fcfa. Olivier est livreur de pain et travaille pour le compte de Loué Zadi Luc, gérant d’une boulangerie à Adjamé. « Après la prison, je l’ai repris comme livreur de pain. Mais aujourd’hui, je ne peux plus rien faire pour lui. S’il ne me restitue pas mon argent alors, il ira en prison encore », dit le plaignant. Le mis en cause, reconnaît les faits. Cependant il affirme qu’il a un problème particulier avec l’argent. « Je demande pardon à M.Zadi. C’est mon vieux-père. Lors de ma première incarcération, l’une de mes deux filles est décédée. Je demande clémence », plaide-t-il lors de son audition à la brigade de gendarmerie d’Adjamé.
Une sélection de Ouattara Moussa
Dans la nuit de jeudi à vendredi 2 avril, Touré Inza s’est introduit dans le poulailler de Mme Kamaté Awa pour faire main basse sur des poulets et lapins. Selon la victime, âgée de 70 ans, il ne se passait pas de nuit sans qu’elle ne soit la cible des voyous. « Lorsqu’elle a aperçu l’individu dans l’enclos, elle a crié au voleur. Il est sorti précipitamment du poulailler. Puis, il s’est mis à courir. Nous l’avons pris en chasse pour le rattraper un peu plus loin », explique Méité Syndou, l’un des poursuivants du voleur. Appréhendé puis conduit au 13ème arrondissement, à Abobo, celui-ci soutient qu’il n’avait pas l’intention de cambrioler les poules mais qu’il voulait s’assurer que la porte du poulailler était bien fermée. Cette argumentation, selon la victime, ne tient pas la route car, justifie-t-elle, Inza était bel et bien en train de voler ses poulets au moment où elle l’a vu. Touré Inza devra répondre des faits de tentative de vol au tribunal.
Un client pas comme les autres
Koné Djakaridja n’oubliera pas de si tôt la nuit du 27 mars à Abobo(Avocatier). Cette nuit-là, il transporte Aladji Ouattara dans son wôro-wôro à destination de derrière-pont. Arrivé au carrefour Agripac, Aladji demande au chauffeur de le laisser là. Il lui tend alors une pièce de 200Fcfa. « Me rudoyant à ma place de chauffeur, Aladji tire mon coffre à gangs pour prendre mes 40 mille Fcfa qui s’y trouvaient. Après son forfait, il a pris la fuite. Comme il y avait l’obscurité alors j’ai rebroussé chemin pour demander l’aide des vigiles. Ceux-ci ont mis la main sur lui », déclare Djakaridja lors de son audition au commissariat de police du 32ème arrondissement. L’indélicat client âgé de 36 ans qui se dit mécanicien nie avoir emprunté le taxi que conduisait le plaignant. « Je vous jure que ce n’est pas moi. Il s’est trompé de personne », se convainc-il. Mais la victime est formelle sur l’identité du voleur. Djakaridja pourra-t-il se tirer d’affaire ? Rendez-vous au tribunal.
Tu ne vas pas changer hein !
Les affaires lui collent à la peau. A peine sorti de prison pour abus de confiance portant sur la somme de 1.345.000 Fcfa, Gbé Olivier remet le couvert. Cette fois-ci, il roule dans la farine son employeur et disparaît avec la somme de 384.245Fcfa. Olivier est livreur de pain et travaille pour le compte de Loué Zadi Luc, gérant d’une boulangerie à Adjamé. « Après la prison, je l’ai repris comme livreur de pain. Mais aujourd’hui, je ne peux plus rien faire pour lui. S’il ne me restitue pas mon argent alors, il ira en prison encore », dit le plaignant. Le mis en cause, reconnaît les faits. Cependant il affirme qu’il a un problème particulier avec l’argent. « Je demande pardon à M.Zadi. C’est mon vieux-père. Lors de ma première incarcération, l’une de mes deux filles est décédée. Je demande clémence », plaide-t-il lors de son audition à la brigade de gendarmerie d’Adjamé.
Une sélection de Ouattara Moussa
