Le Mouvement des institutions pour la défense de leur droit (MIDD) observe depuis hier 1er juin 2010 un arrêt de travail. A l’origine de cette énième grève le non respect des engagements de l’Etat vis-à-vis des instituteurs.
Le Mouvement des instituteurs pour la défense de leur droit (MIDD) dirigé par Mesmin Comoé n’est pas du tout content de l’Etat ivoirien. En effet, depuis quelques années, le MIDD et son secrétaire général luttent pour le bien être des instituteurs. Une lutte qui a porté ses fruits puisque le mouvement cher à Mesmin Comoé a obtenu de l’Etat la satisfaction de plusieurs de ses revendications. Malheureusement, ces satisfactions semblent avoir du mal à se matérialiser et à se traduire en acte dans le quotidien des instituteurs. De ce fait, le MIDD a décidé d’observer un arrêt de travail illimité. Si l’on s’en tient à la déclaration du secrétaire général Mesmin Comoé, cet énième mouvement de grève fait suite au non respect des engagements de l’Etat envers les instituteurs. Ainsi, au nombre de ces engagements, on peut citer entre autres, la bonification indiciaire, l’indemnité de logement, le reclassement des enseignants. Par ailleurs, cette grève qui vient encore une fois perturber le bon déroulement des cours dans le primaire aura sans aucun doute des incidences sur la tenue des examens de fin d’année qui approchent à grand pas. Car pour Minsmin Comoé, cette grève se poursuivra jusqu’à satisfaction totale des différentes revendications qui sont depuis plus d’un an sur la table du gouvernement.
B.K.
Le Mouvement des instituteurs pour la défense de leur droit (MIDD) dirigé par Mesmin Comoé n’est pas du tout content de l’Etat ivoirien. En effet, depuis quelques années, le MIDD et son secrétaire général luttent pour le bien être des instituteurs. Une lutte qui a porté ses fruits puisque le mouvement cher à Mesmin Comoé a obtenu de l’Etat la satisfaction de plusieurs de ses revendications. Malheureusement, ces satisfactions semblent avoir du mal à se matérialiser et à se traduire en acte dans le quotidien des instituteurs. De ce fait, le MIDD a décidé d’observer un arrêt de travail illimité. Si l’on s’en tient à la déclaration du secrétaire général Mesmin Comoé, cet énième mouvement de grève fait suite au non respect des engagements de l’Etat envers les instituteurs. Ainsi, au nombre de ces engagements, on peut citer entre autres, la bonification indiciaire, l’indemnité de logement, le reclassement des enseignants. Par ailleurs, cette grève qui vient encore une fois perturber le bon déroulement des cours dans le primaire aura sans aucun doute des incidences sur la tenue des examens de fin d’année qui approchent à grand pas. Car pour Minsmin Comoé, cette grève se poursuivra jusqu’à satisfaction totale des différentes revendications qui sont depuis plus d’un an sur la table du gouvernement.
B.K.