Les sachets sont dangereux pour l’environnement, quand ils sont jetés, ils ne se dégradent pas pendant au moins 300 et 400 ans. Tel est le message porté hier, par M. Karim Fadika, ministre de l’Environnement, des Eaux et Forêts, aux industriels de la fabrication de sachets qu’il a reçus à son cabinet.
La réunion d’hier, pour reprendre ses propos, était une réunion d’information. Mais surtout un cadre de concertation pour nouer le dialogue avec les acteurs du secteur sur ce que le gouvernement envisage de faire à très courte échéance. Le ministre va déposer un projet de loi relatif aux sachets et à leur fabrication.
Il recommande fortement aux industriels de voir dans quelle mesure, ils peuvent fabriquer désormais des sachets biodégradables pour ne pas contribuer davantage à polluer l’environnement. M. Karim Fadika a dit bien connaître les bienfaits d’une campagne de proximité. Mais, elle pourrait prendre beaucoup de temps.
Il se demane donc s’il ne faut pas, comme au Rwanda, interdire purement et simplement la production de sachets, et fermer les yeux sur les effets collatéraux de cette décision, ou tout simplement obtenir un cadre institutionnel interdisant les sachets. C’est au terme des échanges qu’il a eus avec les acteurs, que le ministre a indiqué qu’une autre réunion de haut niveau est envisagée avec les techniciens du secteur pour envisager des scénarios, avant d’inscrire toutes les conclusions techniques dans un cadre institutionnel favorable au développement durable. Lequel prend en compte, à la fois, le social et l’écologie pour penser aux générations futures.
MM. Koffy Fulgence, Pdg de Pakidie, Chour Moshen de Socipac et bien d’autres ont formulé quelques observations. Le ministre a prêté une oreille attentive à leurs différentes interventions.
Cissé Mamadou
La réunion d’hier, pour reprendre ses propos, était une réunion d’information. Mais surtout un cadre de concertation pour nouer le dialogue avec les acteurs du secteur sur ce que le gouvernement envisage de faire à très courte échéance. Le ministre va déposer un projet de loi relatif aux sachets et à leur fabrication.
Il recommande fortement aux industriels de voir dans quelle mesure, ils peuvent fabriquer désormais des sachets biodégradables pour ne pas contribuer davantage à polluer l’environnement. M. Karim Fadika a dit bien connaître les bienfaits d’une campagne de proximité. Mais, elle pourrait prendre beaucoup de temps.
Il se demane donc s’il ne faut pas, comme au Rwanda, interdire purement et simplement la production de sachets, et fermer les yeux sur les effets collatéraux de cette décision, ou tout simplement obtenir un cadre institutionnel interdisant les sachets. C’est au terme des échanges qu’il a eus avec les acteurs, que le ministre a indiqué qu’une autre réunion de haut niveau est envisagée avec les techniciens du secteur pour envisager des scénarios, avant d’inscrire toutes les conclusions techniques dans un cadre institutionnel favorable au développement durable. Lequel prend en compte, à la fois, le social et l’écologie pour penser aux générations futures.
MM. Koffy Fulgence, Pdg de Pakidie, Chour Moshen de Socipac et bien d’autres ont formulé quelques observations. Le ministre a prêté une oreille attentive à leurs différentes interventions.
Cissé Mamadou