Dans le souci de répondre aux besoins des collectivités en matière de comptabilité, le ministère de l’Economie et des Finances organise depuis le mercredi 9 juin 2010, au complexe hôtelier BelleCote, sis à la Riviera palmeraie, un séminaire sur l’optimisation de la comptabilité administrative.
A l’ouverture de l’atelier, M. Bernard Yao Kouamé, Chef de cabinet du ministre de l’Economie et des Finances a relevé l’importance du budget de l’Etat. Selon lui, il constitue un puissant moyen de régulation de l’activité économique et de la vie sociale. Le budget de l’Etat est également, poursuit Bernard Yao Kouamé, un instrument de solidarité nationale, de justice, d’équité dont le bon usage sert à corriger les disparités régionales pour garantir la paix. Relevant l’importance de la comptabilité- matière au cœur de la rénovation de l’Etat, M. Bernard Yao Kouamé, a noté qu’en 2010 l’Etat de Côte d’Ivoire ne peut être géré comme il était en 1960. C’est pourquoi, selon lui, il est important que les décideurs aient des données réelles sur la richesse de la nation ivoirienne. «Cette richesse là ne se limite pas au café et au cacao, à l’huile de palme, à l’hévéa et au pétrole », a-t-il indiqué. Selon Bernard Yao Kouamé, l’introduction de la comptabilité-matière dans la gestion publique permettra de maîtriser les efforts d’investissement en matière mobilière et immobilière et de tenir un inventaire du patrimoine meuble et immeuble de l’Etat. A en croire Bernard Yao Kouamé, l’enjeu est de taille. En ce sens qu’il permettra de renforcer les bases de l’équilibre budgétaire par une allocation rigoureuse des crédits et une réduction des déperditions des ressources publiques. Pour sa part, M. Bernard Yapi Koffi, inspecteur général des finances, par ailleurs président du comité d’organisation de ce séminaire s’est voulu clair et simple. Pour lui, les participants à cet atelier doivent réunir leurs expertises pour faire des propositions actives sur les différents sujets à examiner. «La Côte d’Ivoire est en train de surmonter la crise sociopolitique qui a fragilisé le tissu économique et financier. Il s’avère donc nécessaire de consolider la normalisation de la situation économique par la rationalisation et surtout la maîtrise de la dépense publique. Pour ce faire, il faut permettre aux différents acteurs du circuit de l’exécution de la dépense publique de suivre en temps réel la consommation des crédits accordés par les lois de finances tout au long du processus allant de l’engagement à l’ordonnancement, organiser la gestion des biens de l’Etat dans un cadre législatif et réglementaire unique de référence», a fait savoir l’inspecteur général des finances
A.Kouamé
A l’ouverture de l’atelier, M. Bernard Yao Kouamé, Chef de cabinet du ministre de l’Economie et des Finances a relevé l’importance du budget de l’Etat. Selon lui, il constitue un puissant moyen de régulation de l’activité économique et de la vie sociale. Le budget de l’Etat est également, poursuit Bernard Yao Kouamé, un instrument de solidarité nationale, de justice, d’équité dont le bon usage sert à corriger les disparités régionales pour garantir la paix. Relevant l’importance de la comptabilité- matière au cœur de la rénovation de l’Etat, M. Bernard Yao Kouamé, a noté qu’en 2010 l’Etat de Côte d’Ivoire ne peut être géré comme il était en 1960. C’est pourquoi, selon lui, il est important que les décideurs aient des données réelles sur la richesse de la nation ivoirienne. «Cette richesse là ne se limite pas au café et au cacao, à l’huile de palme, à l’hévéa et au pétrole », a-t-il indiqué. Selon Bernard Yao Kouamé, l’introduction de la comptabilité-matière dans la gestion publique permettra de maîtriser les efforts d’investissement en matière mobilière et immobilière et de tenir un inventaire du patrimoine meuble et immeuble de l’Etat. A en croire Bernard Yao Kouamé, l’enjeu est de taille. En ce sens qu’il permettra de renforcer les bases de l’équilibre budgétaire par une allocation rigoureuse des crédits et une réduction des déperditions des ressources publiques. Pour sa part, M. Bernard Yapi Koffi, inspecteur général des finances, par ailleurs président du comité d’organisation de ce séminaire s’est voulu clair et simple. Pour lui, les participants à cet atelier doivent réunir leurs expertises pour faire des propositions actives sur les différents sujets à examiner. «La Côte d’Ivoire est en train de surmonter la crise sociopolitique qui a fragilisé le tissu économique et financier. Il s’avère donc nécessaire de consolider la normalisation de la situation économique par la rationalisation et surtout la maîtrise de la dépense publique. Pour ce faire, il faut permettre aux différents acteurs du circuit de l’exécution de la dépense publique de suivre en temps réel la consommation des crédits accordés par les lois de finances tout au long du processus allant de l’engagement à l’ordonnancement, organiser la gestion des biens de l’Etat dans un cadre législatif et réglementaire unique de référence», a fait savoir l’inspecteur général des finances
A.Kouamé