Dans l’accomplissement de la mission qui lui a été confiée par Malick Moulouk Mouammar Kadhafi, sa majesté Tchiffi Zié s’est rendu en Afrique du Sud, où il a échangé, le mardi 29 juin 2010, avec le Président Jacob Zuma et sa majesté Goodwill Zwelithini, le roi des Zoulous, sur l’avenir des leaders traditionnels du continent africain et leur rôle dans la gestion des conflits.
Tchiffi Al Kadhafi Zié, qui fait du rayonnement des leaders traditionnels africains, de la cohésion sociale et de la préservation de la stabilité des pays africains, le socle de son combat, sillonne les pays du monde entier, du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest, pour expliquer les missions du Forum des Rois, Sultans, Princes, Cheiks et Leaders traditionnels africains, un instrument à la disposition des chefs d’Etats africains. Ce principe n’a pas dérogé à la règle au cours d’une audience avec le Président de la République sud africaine, Jacob Zuma et d’un déjeuner avec le Roi des Zoulous. « Je sors d’une école de formation, je reviens, en quelque sorte, d’un stage de perfectionnement chez le président Zuma. Lorsque vous parlez avec des personnes qui, au départ, n’étaient pas officiellement intégrées dans le Forum et vous arrivez à trouver un compromis, c’est un grand succès qui rejaillit sur toute la famille des Leaders traditionnels africains. Le Président Zuma a demandé aux leaders traditionnels de se départir de la politique et de garder nos valeurs culturelles, l’essence de notre existence », s’est réjoui Tchiffi Zié Jean Gervais, hier au Plateau. Comment Tchiffi Zié s’y est-il pris pour convaincre sa majesté Goodwill Zwelithini, au point qu’il sera à Kampala, en Ouaganda, lors du prochain sommet des chefs d’Etats membres de l’Union africaine, en qualité de membre du Conseil des sages du Forum des Rois ? Aux dires du secrétaire général permanent du Forum des Rois, Sultans, Princes, Cheiks et Leaders traditionnels africains, « la diplomatie traditionnelle est la meilleure », parce qu’elle donne des résultats probants. Dans son développement, Tchiffi Zié qui s’est gardé, en tant qu’intermédiaire anonyme et discret, « d’étaler sur la place publique » les confidences du président Zuma sur la situation politique en Côte d’Ivoire, a invité l’ensemble de la population ivoirienne à soutenir les initiatives du Président Laurent Gbagbo pour le retour de la paix. « Tous les Ivoiriens doivent se sentir intéressés par la crise pour éviter tout dérapage. Il faut surtout encourager l’initiative du Président Gbagbo de rencontrer ses frères et voir ensemble comment sortir la Côte d’Ivoire de l’ornière. Si j’étais membre de la commission du prix Nobel de paix, je l’aurais attribué à Laurent Gbagbo », a indiqué Tchiffi Zié, qui estime que l’entente et l’amour du prochain sont les clés de la paix, contrairement à la haine, la jalousie et l’hypocrisie, facteurs de division. Aussi a-t-il demandé à ses pairs d’éviter de prendre position pour tel ou tel candidat. « Un chef ne fait pas de politique, un chef doit être neutre. Il faut que les chefs apprennent à aimer tous les candidats de la même manière, car c’est indispensable pour l’avenir de la Côte d’Ivoire », a rappelé Tchiffi Al Kadhafi Zié
Olivier Dion
Tchiffi Al Kadhafi Zié, qui fait du rayonnement des leaders traditionnels africains, de la cohésion sociale et de la préservation de la stabilité des pays africains, le socle de son combat, sillonne les pays du monde entier, du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest, pour expliquer les missions du Forum des Rois, Sultans, Princes, Cheiks et Leaders traditionnels africains, un instrument à la disposition des chefs d’Etats africains. Ce principe n’a pas dérogé à la règle au cours d’une audience avec le Président de la République sud africaine, Jacob Zuma et d’un déjeuner avec le Roi des Zoulous. « Je sors d’une école de formation, je reviens, en quelque sorte, d’un stage de perfectionnement chez le président Zuma. Lorsque vous parlez avec des personnes qui, au départ, n’étaient pas officiellement intégrées dans le Forum et vous arrivez à trouver un compromis, c’est un grand succès qui rejaillit sur toute la famille des Leaders traditionnels africains. Le Président Zuma a demandé aux leaders traditionnels de se départir de la politique et de garder nos valeurs culturelles, l’essence de notre existence », s’est réjoui Tchiffi Zié Jean Gervais, hier au Plateau. Comment Tchiffi Zié s’y est-il pris pour convaincre sa majesté Goodwill Zwelithini, au point qu’il sera à Kampala, en Ouaganda, lors du prochain sommet des chefs d’Etats membres de l’Union africaine, en qualité de membre du Conseil des sages du Forum des Rois ? Aux dires du secrétaire général permanent du Forum des Rois, Sultans, Princes, Cheiks et Leaders traditionnels africains, « la diplomatie traditionnelle est la meilleure », parce qu’elle donne des résultats probants. Dans son développement, Tchiffi Zié qui s’est gardé, en tant qu’intermédiaire anonyme et discret, « d’étaler sur la place publique » les confidences du président Zuma sur la situation politique en Côte d’Ivoire, a invité l’ensemble de la population ivoirienne à soutenir les initiatives du Président Laurent Gbagbo pour le retour de la paix. « Tous les Ivoiriens doivent se sentir intéressés par la crise pour éviter tout dérapage. Il faut surtout encourager l’initiative du Président Gbagbo de rencontrer ses frères et voir ensemble comment sortir la Côte d’Ivoire de l’ornière. Si j’étais membre de la commission du prix Nobel de paix, je l’aurais attribué à Laurent Gbagbo », a indiqué Tchiffi Zié, qui estime que l’entente et l’amour du prochain sont les clés de la paix, contrairement à la haine, la jalousie et l’hypocrisie, facteurs de division. Aussi a-t-il demandé à ses pairs d’éviter de prendre position pour tel ou tel candidat. « Un chef ne fait pas de politique, un chef doit être neutre. Il faut que les chefs apprennent à aimer tous les candidats de la même manière, car c’est indispensable pour l’avenir de la Côte d’Ivoire », a rappelé Tchiffi Al Kadhafi Zié
Olivier Dion
