La présidente de l’organisation non gouvernementale (ONG) « non à la casse », Suzanne Konaté, a présenté, hier, à Yopougon, celle-ci et elle en a profité pour donner les raisons qui ont motivé sa création et son plan d’action de l’organisation.
«Depuis un certain nombre d’années, nous constatons la destruction des biens publics et privés en Côte d’Ivoire pendant les revendications (sociales, syndicales, politiques) et même pendant les périodes de joie causant ainsi d’énormes préjudices dans tous les secteurs d’activités. » C’est là l’une des raisons qui ont motivé dame Suzanne Konaté à mettre sur pied l’organisation non gouvernementale (ONG) « non à la casse » le 05 octobre 2008 et autorisé légalement le 02 décembre 2009. La présentation officielle de cette organisation sensibilisant des populations au civisme et au respect de la chose publique et privée a eu lieu, hier, au foyer des jeunes de la commune de Yopougon. A cette occasion, la présidente de l’organisation «non à la casse » a exposé les objectifs de sa structure et lancé un appel aux populations. «Pour atteindre cet objectif, l’Ong se propose de former, de sensibiliser les acteurs politiques, syndicaux (transporteurs, étudiants, élèves, les enfants de la rue…) afin qu’ils évitent de détruire les édifices privés et publics, tout en faisant des propositions aux gouvernants » a situé la présidente de l’organisation. La tache s’annonce difficile, mais Suzanne Konaté soutient que « ce n’est pas impossible » si tout le monde s’y implique et prend conscience que c’est à ce prix que l’on pourra mettre en confiance les investisseurs privés qui envisagent la destination Côte d’Ivoire. Outre les séminaires, les tables rondes et autres campagnes de sensibilisation qu’elle promet pour que toutes couches socio-politiques s’approprient ce comportement civique et révérencieux à l’égard des biens publics et privés, la présidente de l’organisation « non à la casse » annonce également une présence sur le terrain pendant les manifestations socio-politiques. Elle a révélé que n’eut été le report de la marche des jeunes houphouétistes du 15 mai dernier, son organisation était prête pour la sensibilisation. D’où son appel aux populations et aux décideurs pour leur soutien et à leur implication dans ces activités.
Romarick N. Foua
«Depuis un certain nombre d’années, nous constatons la destruction des biens publics et privés en Côte d’Ivoire pendant les revendications (sociales, syndicales, politiques) et même pendant les périodes de joie causant ainsi d’énormes préjudices dans tous les secteurs d’activités. » C’est là l’une des raisons qui ont motivé dame Suzanne Konaté à mettre sur pied l’organisation non gouvernementale (ONG) « non à la casse » le 05 octobre 2008 et autorisé légalement le 02 décembre 2009. La présentation officielle de cette organisation sensibilisant des populations au civisme et au respect de la chose publique et privée a eu lieu, hier, au foyer des jeunes de la commune de Yopougon. A cette occasion, la présidente de l’organisation «non à la casse » a exposé les objectifs de sa structure et lancé un appel aux populations. «Pour atteindre cet objectif, l’Ong se propose de former, de sensibiliser les acteurs politiques, syndicaux (transporteurs, étudiants, élèves, les enfants de la rue…) afin qu’ils évitent de détruire les édifices privés et publics, tout en faisant des propositions aux gouvernants » a situé la présidente de l’organisation. La tache s’annonce difficile, mais Suzanne Konaté soutient que « ce n’est pas impossible » si tout le monde s’y implique et prend conscience que c’est à ce prix que l’on pourra mettre en confiance les investisseurs privés qui envisagent la destination Côte d’Ivoire. Outre les séminaires, les tables rondes et autres campagnes de sensibilisation qu’elle promet pour que toutes couches socio-politiques s’approprient ce comportement civique et révérencieux à l’égard des biens publics et privés, la présidente de l’organisation « non à la casse » annonce également une présence sur le terrain pendant les manifestations socio-politiques. Elle a révélé que n’eut été le report de la marche des jeunes houphouétistes du 15 mai dernier, son organisation était prête pour la sensibilisation. D’où son appel aux populations et aux décideurs pour leur soutien et à leur implication dans ces activités.
Romarick N. Foua