Deux plantureuses filles, serveuses de maquis, achèvent leur travail comme à l`accoutumé. Il est 1 h du mat. Épuisées par le boulot, Louise et Tatiana, au lieu de rentrer chez elles pour un repos mérité acceptent de répondre positivement à l`invitation d`un soupirant de Louise. Rendez-vous est donc pris au quartier Mahou où les endroits de distraction ont germé à profusion. Le dragueur appelle Louise sur son téléphone à l`effet de voir sa position. Ce qu`elle fit, toute joyeuse en nourrissant l`espoir comme la majorité des filles d`Abidjan de faire une saignée financière au dragueur. Elle décide de venir avec sa collègue Tatiana. L`homme impatient d`attendre et vu la nuit tardive intime l`ordre à sa dulcinée de prendre un taxi depuis leur lieu de travail d`Abobo-té pour le Mahou. Le taxi devrait être réglé par le système "arriver payer". Louise avait pour seul bien matériel en sa possession la somme de 1000 f.
Quant à Tatiana, elle n`avait pas un seul radis sur elle. Chemin faisant, elles sont prises à partie dans les encablures du "Burkina" à la sortie d`Abobo-té. Trois bandits, à l`aide d`un pistolet factice, arrachent leurs portables et la modique somme de 1000 f. Prises de panique elles prennent leurs jambes à leur cou et rentrent à la maison. Le pointeur a attendu en vain.
Foumséké Coulibaly
Quant à Tatiana, elle n`avait pas un seul radis sur elle. Chemin faisant, elles sont prises à partie dans les encablures du "Burkina" à la sortie d`Abobo-té. Trois bandits, à l`aide d`un pistolet factice, arrachent leurs portables et la modique somme de 1000 f. Prises de panique elles prennent leurs jambes à leur cou et rentrent à la maison. Le pointeur a attendu en vain.
Foumséké Coulibaly