La cellule nationale des enseignants de l’Union pour la Côte d’Ivoire (Upci), organise le 28 août prochain à l’institut national de santé publique (Insp) d’Adjamé, un congrès sur l’école ivoirienne. L’annonce a été faite le mercredi 11 août au cours d’une conférence de presse animée par MM. Sako Assane et N’Zi Ekoun Léopold, respectivement président et secrétaire général de cette structure.
Il s’agira au cours de ce congrès à en croire les organisateurs, de trouver des solutions idoines aux maux qui minent l’école ivoirienne aujourd’hui. Notamment la démotivation des enseignants, le manque d’infrastructures d’accueil des élèves et la corruption des parents d’élèves. Mais aussi et surtout le surpeuplement des classes du fait d’une mauvaise planification de la construction d’écoles. Pour Sako Assane et N’Zi Ekoun Léopold, ce congrès s’inscrit dans la droite ligne du projet de société du président de l’Upci, le colonel major, Gnamien konan, l’ex directeur général des douanes de côte de Côte d’Ivoire et candidat à l’élection présidentielle du 31 octobre prochain.
Mais avant, Sako Assane dans ses propos liminaires a indiqué que l’origine des difficultés de l’école ivoirienne remonte à 1980 avec « la crise économique mondiale qui fit chuter de façon sensible les recettes d’exportation ivoiriennes a contraint les autorités à revoir à la baisse les 40% du budget de l’Etat alloués à l’école ». A cela, il faut ajouter la lutte pour le contrôle de l’école entre la fédération estudiantine et scolaire de côte d’Ivoire (Fesci) soutenue par l’opposition et le mouvement des élèves et étudiants de côte d’Ivoire (Meeci) du Pdci-rda. Cette situation a dit le conférencier a fait de l’école ivoirienne un champ de bataille politique où règne « une violence parfois meurtrière ».
Selon les organisateurs, c’est environ 500 participants issus du préscolaire au supérieur en passant par le primaire et le secondaire qui sont attendus à ce congrès de la réhabilitation de l’école ivoirienne.
Franck YEO
Franck-stephane.yeo@fratmat.info
Il s’agira au cours de ce congrès à en croire les organisateurs, de trouver des solutions idoines aux maux qui minent l’école ivoirienne aujourd’hui. Notamment la démotivation des enseignants, le manque d’infrastructures d’accueil des élèves et la corruption des parents d’élèves. Mais aussi et surtout le surpeuplement des classes du fait d’une mauvaise planification de la construction d’écoles. Pour Sako Assane et N’Zi Ekoun Léopold, ce congrès s’inscrit dans la droite ligne du projet de société du président de l’Upci, le colonel major, Gnamien konan, l’ex directeur général des douanes de côte de Côte d’Ivoire et candidat à l’élection présidentielle du 31 octobre prochain.
Mais avant, Sako Assane dans ses propos liminaires a indiqué que l’origine des difficultés de l’école ivoirienne remonte à 1980 avec « la crise économique mondiale qui fit chuter de façon sensible les recettes d’exportation ivoiriennes a contraint les autorités à revoir à la baisse les 40% du budget de l’Etat alloués à l’école ». A cela, il faut ajouter la lutte pour le contrôle de l’école entre la fédération estudiantine et scolaire de côte d’Ivoire (Fesci) soutenue par l’opposition et le mouvement des élèves et étudiants de côte d’Ivoire (Meeci) du Pdci-rda. Cette situation a dit le conférencier a fait de l’école ivoirienne un champ de bataille politique où règne « une violence parfois meurtrière ».
Selon les organisateurs, c’est environ 500 participants issus du préscolaire au supérieur en passant par le primaire et le secondaire qui sont attendus à ce congrès de la réhabilitation de l’école ivoirienne.
Franck YEO
Franck-stephane.yeo@fratmat.info