L’augmentation des prix de certaines denrées alimentaires n’est pas du fait des commerçants. Le président national de la Fédération nationale des commerçants de Côte d’Ivoire (Fenacci) met en cause les autorités ivoiriennes.
Le mois de Ramadan est celui que certains commerçants choisissent pour augmenter le prix de certaines denrées alimentaires. Le continent est frappé chaque année par ce phénomène. En Côte d’Ivoire, les consommateurs commencent à grincer les dents, après seulement quelques jours de jeûne du fait de la flambée des prix de certains produits, notamment le sucre. Pour eux se sont les commerçants qui seraient à la base de leur malheur. Le président de la Fédération nationale des commerçants de Côte d’Ivoire (Fenacci), ne partage pas l’avis des commerçants. Cependant, Farikou Soumahoro accuse les autorités ivoiriennes d’être la cause des malheurs des consommateurs. «Les flambées des prix de certains produits sont les conséquences des dispositions législatives et administratives», a insisté le président de la Fenacci. Pour être plus explicite, Farikou Soumahoro a affirmé que c’est dans le mois de Ramadan que les autorités augmentent les taxes des marchandises. Vrai ou faux ! En tout cas, le premier responsable des commerçants dit maintenir sa position. Cependant, il demande aux autorités ivoiriennes de ne pas profiter du mois de Ramadan pour augmenter les taxes des produits de première nécessité.
Souleymane Koné
Le mois de Ramadan est celui que certains commerçants choisissent pour augmenter le prix de certaines denrées alimentaires. Le continent est frappé chaque année par ce phénomène. En Côte d’Ivoire, les consommateurs commencent à grincer les dents, après seulement quelques jours de jeûne du fait de la flambée des prix de certains produits, notamment le sucre. Pour eux se sont les commerçants qui seraient à la base de leur malheur. Le président de la Fédération nationale des commerçants de Côte d’Ivoire (Fenacci), ne partage pas l’avis des commerçants. Cependant, Farikou Soumahoro accuse les autorités ivoiriennes d’être la cause des malheurs des consommateurs. «Les flambées des prix de certains produits sont les conséquences des dispositions législatives et administratives», a insisté le président de la Fenacci. Pour être plus explicite, Farikou Soumahoro a affirmé que c’est dans le mois de Ramadan que les autorités augmentent les taxes des marchandises. Vrai ou faux ! En tout cas, le premier responsable des commerçants dit maintenir sa position. Cependant, il demande aux autorités ivoiriennes de ne pas profiter du mois de Ramadan pour augmenter les taxes des produits de première nécessité.
Souleymane Koné