Des femmes, 300 au moins, marchant sur l'ancienne prison coloniale de Grand-Bassam, comme en 1949. Tel est, selon Assoumou N'Goran, directeur de l'appui et de l'assistance aux entreprises à l'Association pour la promotion des exportations de Côte d'Ivoire (Apex-ci), le plan de Dieu pour la libération spirituelle de la Côte d'Ivoire. C'est, en tout cas, ce qu'il a expliqué au cours du
point- presse qu'il a animé dans un restaurant de la capitale économique. Selon lui, cette révélation lui vient de la part du Seigneur. Celui-ci aurait demandé à une prophétesse, Ruth Agbo, de le rencontrer afin de mobiliser les femmes pour ce projet, dans un songe. « Elle m'a dit qu'elle a reçu une vision de l'Eternel qui demande aux femmes d'organiser dans le cadre du jubilé, une marche sur Grand-Bassam pour libérer le pays de la dépendance. Cette marche devra être précédée d'une journée de repentance de la Côte d'Ivoire. “Le Seigneur m'envoie vers vous, mais j'avoue que je n'ai reçu aucune recommandation spécifique sur le rôle que vous devez jouer dans un projet qui concerne apparemment les femmes'', m'a-t-elle dit », a raconté Assoumou N'Goran. Mais, pour lui, ce dessein de Dieu se comprend aisément. « Il apparaît clairement que dans sa grande bonté, le Seigneur a décidé de briser les liens qui ont, jusqu'ici, empêché la Côte d'Ivoire d'entrer dans sa destinée prophétique. Il invite donc les Ivoiriens, les femmes en tête, au cours de cette année du jubilé d'or, à mener des actions prophétiques en vue de libérer définitivement la Côte d'Ivoire de la dépendance »
Aussi, estime-t-il que le rôle qu'il a à jouer est celui joué par Gédéon qui, dans la Bible, a sonné le cor pour la victoire d'Israël sur les Madianites. «Je sonnerai le cor et toutes les personnes qui se sentiront interpellées, seront les bienvenues. Ainsi, dans l'accomplissement de sa mission, le Seigneur lui a demandé de rencontrer des personnalités civiles et religieuses. Il s'agit de Mmes Marthe Ago, vice-présidente de l'Assemblée nationale, et Raymonde Coffie, les épouses des présidents des institutions ivoiriennes, l'archevêque d'Abidjan, Mgr Jean-Pierre Kutwa et le pasteur Robert Dion.
C'est donc à la suite de ces rencontres que la marche sur Grand-Bassam a été fixée au 18 septembre prochain. « Les manifestants quitteront Abidjan pour Bassam. Là, elles seront ralliées par les femmes de Bassam pour la marche sur la prison coloniale. C'est à cet endroit qu'aura lieu la proclamation prophétique de libération par d'éminents servantes et serviteurs de Dieu.
MAE
point- presse qu'il a animé dans un restaurant de la capitale économique. Selon lui, cette révélation lui vient de la part du Seigneur. Celui-ci aurait demandé à une prophétesse, Ruth Agbo, de le rencontrer afin de mobiliser les femmes pour ce projet, dans un songe. « Elle m'a dit qu'elle a reçu une vision de l'Eternel qui demande aux femmes d'organiser dans le cadre du jubilé, une marche sur Grand-Bassam pour libérer le pays de la dépendance. Cette marche devra être précédée d'une journée de repentance de la Côte d'Ivoire. “Le Seigneur m'envoie vers vous, mais j'avoue que je n'ai reçu aucune recommandation spécifique sur le rôle que vous devez jouer dans un projet qui concerne apparemment les femmes'', m'a-t-elle dit », a raconté Assoumou N'Goran. Mais, pour lui, ce dessein de Dieu se comprend aisément. « Il apparaît clairement que dans sa grande bonté, le Seigneur a décidé de briser les liens qui ont, jusqu'ici, empêché la Côte d'Ivoire d'entrer dans sa destinée prophétique. Il invite donc les Ivoiriens, les femmes en tête, au cours de cette année du jubilé d'or, à mener des actions prophétiques en vue de libérer définitivement la Côte d'Ivoire de la dépendance »
Aussi, estime-t-il que le rôle qu'il a à jouer est celui joué par Gédéon qui, dans la Bible, a sonné le cor pour la victoire d'Israël sur les Madianites. «Je sonnerai le cor et toutes les personnes qui se sentiront interpellées, seront les bienvenues. Ainsi, dans l'accomplissement de sa mission, le Seigneur lui a demandé de rencontrer des personnalités civiles et religieuses. Il s'agit de Mmes Marthe Ago, vice-présidente de l'Assemblée nationale, et Raymonde Coffie, les épouses des présidents des institutions ivoiriennes, l'archevêque d'Abidjan, Mgr Jean-Pierre Kutwa et le pasteur Robert Dion.
C'est donc à la suite de ces rencontres que la marche sur Grand-Bassam a été fixée au 18 septembre prochain. « Les manifestants quitteront Abidjan pour Bassam. Là, elles seront ralliées par les femmes de Bassam pour la marche sur la prison coloniale. C'est à cet endroit qu'aura lieu la proclamation prophétique de libération par d'éminents servantes et serviteurs de Dieu.
MAE