Réunis depuis le lundi 30 Août dernier à Abidjan, des experts en environnement ont planché sur des stratégies de réduction de la pollution. L’atelier a pris fin hier mardi.
Le ministre des Eaux & Forêts, a procédé lundi dernier, à l’ouverture de l’atelier sous-régional sur la pollution de l’air par les véhicules et engins motorisés dans la salle de conférence du ministère des Affaires Etrangères. En présence de l’ambassadeur du Japon, de la représentante du Programme des Nations Unies pour l’Environnement, Mme Jane Akumu et des représentants d’associations de transporteurs et des raffineurs. Pour le ministre, les populations courent un très grave danger à terme car ‘‘les gaz émis par les tuyaux d’échappement des véhicules contiennent du gaz carbonique (CO2), révélé comme gaz à effet de serre le plus prépondérant’’. Parce que tout simplement ‘‘responsable du réchauffement climatique actuel, ainsi que d’autres gaz tels que le monoxyde de carbone (CO) et le dioxyde de soufre (SO2) qui sont toxiques et menacent la santé humaine (…). Or un véhicule qui parcourt 500kms, produit 1 tonne d’équivalent CO2 dans l’air. Les moteurs diesel émettent 30 à 100 fois plus de particules que les moteurs à essence.’’. En 2008, le secteur du transport a consommé 364.000 tonnes de diesel et 35.000 tonnes d’essence. Ce qui correspond à environ 320.000 véhicules et engins, à peu près, pour le diesel, à une production de 1.120.000 tonnes d’équivalent CO2, soit 3100 tonnes/j rejetés dans l’air pour le diésel et 110.000 d’équivalent CO2, soit 300 tonnes CO2/j pour l’essence. Toutefois, selon le ministre si la situation est ‘‘certes préoccupante, elle n’est pas du tout insurmontable’’. Néanmoins, il n’a pas manqué d’exhorter les transporteurs à mieux choisir leur carburant en se faisant servir à la pompe. Dans tous les cas, fasse Dieu que les objectifs de l’atelier qui sont de contribuer à l’amélioration de la qualité de l’air à travers des stratégies durables de réduction des polluants due aux gaz d’échappement et des véhicules et engins motorisés puissent réellement être atteints. L’atelier a pris fin hier.
Gervais Djidji
Le ministre des Eaux & Forêts, a procédé lundi dernier, à l’ouverture de l’atelier sous-régional sur la pollution de l’air par les véhicules et engins motorisés dans la salle de conférence du ministère des Affaires Etrangères. En présence de l’ambassadeur du Japon, de la représentante du Programme des Nations Unies pour l’Environnement, Mme Jane Akumu et des représentants d’associations de transporteurs et des raffineurs. Pour le ministre, les populations courent un très grave danger à terme car ‘‘les gaz émis par les tuyaux d’échappement des véhicules contiennent du gaz carbonique (CO2), révélé comme gaz à effet de serre le plus prépondérant’’. Parce que tout simplement ‘‘responsable du réchauffement climatique actuel, ainsi que d’autres gaz tels que le monoxyde de carbone (CO) et le dioxyde de soufre (SO2) qui sont toxiques et menacent la santé humaine (…). Or un véhicule qui parcourt 500kms, produit 1 tonne d’équivalent CO2 dans l’air. Les moteurs diesel émettent 30 à 100 fois plus de particules que les moteurs à essence.’’. En 2008, le secteur du transport a consommé 364.000 tonnes de diesel et 35.000 tonnes d’essence. Ce qui correspond à environ 320.000 véhicules et engins, à peu près, pour le diesel, à une production de 1.120.000 tonnes d’équivalent CO2, soit 3100 tonnes/j rejetés dans l’air pour le diésel et 110.000 d’équivalent CO2, soit 300 tonnes CO2/j pour l’essence. Toutefois, selon le ministre si la situation est ‘‘certes préoccupante, elle n’est pas du tout insurmontable’’. Néanmoins, il n’a pas manqué d’exhorter les transporteurs à mieux choisir leur carburant en se faisant servir à la pompe. Dans tous les cas, fasse Dieu que les objectifs de l’atelier qui sont de contribuer à l’amélioration de la qualité de l’air à travers des stratégies durables de réduction des polluants due aux gaz d’échappement et des véhicules et engins motorisés puissent réellement être atteints. L’atelier a pris fin hier.
Gervais Djidji