Face aux difficultés des jeunes à trouver un emploi à la sortie des universités et grandes écoles, l’Etat a mis en place un fonds de garantie pour la création d’entreprise par les jeunes. Cependant les conditions
d’accès au financement ne sont pas toujours connues des principaux concernés.
Avec la crise militaro politique qui perdure, la conjoncture économique est devenue plus que défavorable pour les jeunes en matière d’insertion professionnelle. La fonction publique ainsi que les entreprises publiques aux prises avec des effectifs pléthoriques, se retrouvent incapables d’absorber tous les jeunes en quête d’un premier emploi. Idem pour le secteur privé qui, pour des questions de rentabilité évite de trop s’encombrer de travailleurs. Ainsi, les jeunes, et particulièrement les diplômés, se révèlent donc être l’un des parents pauvres du système social ivoirien.
Par Marius Nouza
marius.nouza@jde-ci.com
d’accès au financement ne sont pas toujours connues des principaux concernés.
Avec la crise militaro politique qui perdure, la conjoncture économique est devenue plus que défavorable pour les jeunes en matière d’insertion professionnelle. La fonction publique ainsi que les entreprises publiques aux prises avec des effectifs pléthoriques, se retrouvent incapables d’absorber tous les jeunes en quête d’un premier emploi. Idem pour le secteur privé qui, pour des questions de rentabilité évite de trop s’encombrer de travailleurs. Ainsi, les jeunes, et particulièrement les diplômés, se révèlent donc être l’un des parents pauvres du système social ivoirien.
Par Marius Nouza
marius.nouza@jde-ci.com