Le jeudi 07 octobre dernier, la Conetfpci a été présentée au public. C’était au cours de son point de presse tenu à Cocody.
La Coordination nationale de l’enseignement technique et de la formation professionnelle (Conetfpci) n’est pas allée du revers de la main pour crier son ras-le-bol. Vu le fait qu’elle soit lésée par le ministère de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle de Yapo Benjamin, au détriment de Solidarité et du Synafetpci (Ndlr : les deux premières structures syndicales), les responsables de la Conetfpci ont tenu un point de presse pour rétablir l’injustice. « Les difficultés viennent de nos rapports avec la tutelle. En effet, malgré toutes les attaches prises avec elle pour une saine collaboration, notre structure fait l’objet d’une discrimination notoire de la part de celle-ci », a dénoncé M. Taoua Basile, 1er secrétaire général adjoint. En plus de cela, il a évoqué un certain nombre de dysfonctionnements dans le secteur. Il s’agit, notamment, de la création de la Cellule Scientifique de l’Utilisation des Ressources Humaines (Cesur) ; créée d’après ses propos, en violation du décret n° 2007-505 du 13 juin 2007 et qui a eu la charge de l’organisation des examens de fin d’année 2009-2010 et des concours en lieu et place de la direction des examens et concours et de l’inspection générale. A cela, s’ajoute la révocation de 30 inspecteurs en chef et inspecteurs généraux par le ministre de la Fonction Publique et de l’Emploi, Emile Guiriéoulou. Ces derniers ont été nommés par Moussa Dosso, ancien ministre de tutelle. A cet effet, « la Conetfpci suggère que les actes de nomination ne soient pas rapportés en bloc », tout en demandant qu’une commission soit mise en place afin de faire une sélection et retenir les plus aptes. Notons que la Conetfpci a vu le jour le 06 février dernier et compte environ 300 membres.
Nathalie Kassi
La Coordination nationale de l’enseignement technique et de la formation professionnelle (Conetfpci) n’est pas allée du revers de la main pour crier son ras-le-bol. Vu le fait qu’elle soit lésée par le ministère de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle de Yapo Benjamin, au détriment de Solidarité et du Synafetpci (Ndlr : les deux premières structures syndicales), les responsables de la Conetfpci ont tenu un point de presse pour rétablir l’injustice. « Les difficultés viennent de nos rapports avec la tutelle. En effet, malgré toutes les attaches prises avec elle pour une saine collaboration, notre structure fait l’objet d’une discrimination notoire de la part de celle-ci », a dénoncé M. Taoua Basile, 1er secrétaire général adjoint. En plus de cela, il a évoqué un certain nombre de dysfonctionnements dans le secteur. Il s’agit, notamment, de la création de la Cellule Scientifique de l’Utilisation des Ressources Humaines (Cesur) ; créée d’après ses propos, en violation du décret n° 2007-505 du 13 juin 2007 et qui a eu la charge de l’organisation des examens de fin d’année 2009-2010 et des concours en lieu et place de la direction des examens et concours et de l’inspection générale. A cela, s’ajoute la révocation de 30 inspecteurs en chef et inspecteurs généraux par le ministre de la Fonction Publique et de l’Emploi, Emile Guiriéoulou. Ces derniers ont été nommés par Moussa Dosso, ancien ministre de tutelle. A cet effet, « la Conetfpci suggère que les actes de nomination ne soient pas rapportés en bloc », tout en demandant qu’une commission soit mise en place afin de faire une sélection et retenir les plus aptes. Notons que la Conetfpci a vu le jour le 06 février dernier et compte environ 300 membres.
Nathalie Kassi