Ça y est ! L'élection tant attendue depuis dix ans maintenant est en train de se dérouler au grand soulagement des opérateurs économiques. Ceux-ci ont
payé un lourd tribut de cette crise qui n'a que trop duré. En effet, l'on se rappelle que ce sont plus de dix mille entreprises qui ont fermé ; soit des milliers de personnes qui ont perdu leur emploi du fait de la crise. A cela s'ajoutent d'autres facteurs tels que l'instabilité sociopolitique, le mauvais environnement des affaires. En ce qui concerne l'environnement des affaires, la Côte d'Ivoire a été classée 168ème sur 183 pays en 2009 et 163ème sur 178 pays en 2008 sur la base de dix indicateurs, selon le rapport de la Banque mondiale (Doing business 2009, 2008). Ces résultats qui constituent un frein pour la relance économique du pays, ont fait dire en 2008, à Emmanuel Diarra, chargé d'opérations principales à la représentation de la Banque mondiale en Côte d'Ivoire que la Côte d'Ivoire devait " engager des réformes de façon structurée afin de promouvoir l'investissement et le commerce, seule réponse au défi post-crise de création de richesse et d'emplois". Avec ces élections qui se tiennent donc, les industriels, les dirigeants des petites et moyennes entreprises (Pme/Pmi), en d'autres termes, les opérateurs économiques commencent à avoir de l'espoir. Celui d'un environnement des affaires plus lisible, prévisible, propice, suivi d'un appui direct aux Pme/Pmi et partant d'une coopération plus accentuée avec d'éventuels investisseurs étrangers qui n'attendent que le retour définitif de la paix en Côte d'Ivoire.
Cinthia R Aka
payé un lourd tribut de cette crise qui n'a que trop duré. En effet, l'on se rappelle que ce sont plus de dix mille entreprises qui ont fermé ; soit des milliers de personnes qui ont perdu leur emploi du fait de la crise. A cela s'ajoutent d'autres facteurs tels que l'instabilité sociopolitique, le mauvais environnement des affaires. En ce qui concerne l'environnement des affaires, la Côte d'Ivoire a été classée 168ème sur 183 pays en 2009 et 163ème sur 178 pays en 2008 sur la base de dix indicateurs, selon le rapport de la Banque mondiale (Doing business 2009, 2008). Ces résultats qui constituent un frein pour la relance économique du pays, ont fait dire en 2008, à Emmanuel Diarra, chargé d'opérations principales à la représentation de la Banque mondiale en Côte d'Ivoire que la Côte d'Ivoire devait " engager des réformes de façon structurée afin de promouvoir l'investissement et le commerce, seule réponse au défi post-crise de création de richesse et d'emplois". Avec ces élections qui se tiennent donc, les industriels, les dirigeants des petites et moyennes entreprises (Pme/Pmi), en d'autres termes, les opérateurs économiques commencent à avoir de l'espoir. Celui d'un environnement des affaires plus lisible, prévisible, propice, suivi d'un appui direct aux Pme/Pmi et partant d'une coopération plus accentuée avec d'éventuels investisseurs étrangers qui n'attendent que le retour définitif de la paix en Côte d'Ivoire.
Cinthia R Aka
