Le Nigeria, poids lourd régional qui exerce la présidence tournante de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest, a écarté l’idée, en la jugeant mauvaise, d’un gouvernement d’union nationale en Côte d’Ivoire à l’image de ce qui s’est passé ces dernières années au Kenya et au Zimbabwe.
A l’issue d’un entretien avec son homologue américaine Hillary Clinton, le ministre nigérian des Affaires étrangères, Henry Odein Ajumogobia, a indiqué que les pays membres de la Cedeao étaient prêts à soutenir d’autres mesures punitives contre Laurent Gbagbo.« Nous appuierons et la Cedeao appuiera (...) tout régime de sanctions prescrites par la communauté internationale, les Nations Unies, l’Union européenne et l’Union africaine », a-t-il dit.
Les USA envisagent “une pression supplémentaire” sur Gbagbo
Les Etats-Unis réfléchissent à la possibilité d`accentuer la pression sur le président ivoirien sortant Laurent Gbagbo pour qu`il cède la place à son rival Alassane Ouattara, a indiqué vendredi le département d`Etat. “Nous continuons de surveiller de très près la situation en Côte d`Ivoire et à dialoguer avec d`autres pays pour essayer de mettre une pression supplémentaire sur le gouvernement sortant”, a déclaré le porte-parole Philip Crowley. M. Gbagbo, a-t-il continué, “”a une chance de se montrer un homme d`Etat”, s’il accepte une transition pacifique avec “le président démocratiquement élu Alassane Ouattara. La communauté internationale est quasi-unanime pour condamner le maintien au pouvoir de M. Gbagbo après la présidentielle du 28 novembre et reconnaître son adversaire comme chef de l`Etat légitime. Le Conseil de sécurité de l`ONU, dont les Etats-Unis sont l`un des cinq membres permanents, a notamment annoncé son soutien à M. Ouattara, se disant “prêt à imposer des mesures ciblées” contre ceux qui “essaient de menacer le processus de paix”.
deux Premiers ministres et deux gouvernements.
M.D. avec Afp
A l’issue d’un entretien avec son homologue américaine Hillary Clinton, le ministre nigérian des Affaires étrangères, Henry Odein Ajumogobia, a indiqué que les pays membres de la Cedeao étaient prêts à soutenir d’autres mesures punitives contre Laurent Gbagbo.« Nous appuierons et la Cedeao appuiera (...) tout régime de sanctions prescrites par la communauté internationale, les Nations Unies, l’Union européenne et l’Union africaine », a-t-il dit.
Les USA envisagent “une pression supplémentaire” sur Gbagbo
Les Etats-Unis réfléchissent à la possibilité d`accentuer la pression sur le président ivoirien sortant Laurent Gbagbo pour qu`il cède la place à son rival Alassane Ouattara, a indiqué vendredi le département d`Etat. “Nous continuons de surveiller de très près la situation en Côte d`Ivoire et à dialoguer avec d`autres pays pour essayer de mettre une pression supplémentaire sur le gouvernement sortant”, a déclaré le porte-parole Philip Crowley. M. Gbagbo, a-t-il continué, “”a une chance de se montrer un homme d`Etat”, s’il accepte une transition pacifique avec “le président démocratiquement élu Alassane Ouattara. La communauté internationale est quasi-unanime pour condamner le maintien au pouvoir de M. Gbagbo après la présidentielle du 28 novembre et reconnaître son adversaire comme chef de l`Etat légitime. Le Conseil de sécurité de l`ONU, dont les Etats-Unis sont l`un des cinq membres permanents, a notamment annoncé son soutien à M. Ouattara, se disant “prêt à imposer des mesures ciblées” contre ceux qui “essaient de menacer le processus de paix”.
deux Premiers ministres et deux gouvernements.
M.D. avec Afp