Comme à sa prise de pouvoir de force en 2000 où une fosse commune de 57 personnes a été découverte à Yopougon, Gbagbo Laurent a encore fait un charnier en Côte d’Ivoire. Selon des sources concordantes, un charnier d’une soixantaine de corps a été découvert, le dimanche 19 décembre 2010, à N’Dotré sur la route d’Anyama entre la prison civile et le corridor d’Anyama.
Une action macabre à mettre à l’actif des mercenaires angolais et libériens et des miliciens du chef rebelle Gbagbo Laurent. Défait lors de la présidentielle du 28 novembre dernier, le chef de file du mouvement rebelle LMP a jeté dans les rues de la capitale économique ivoirienne, ses chiens de guerre qui commettent des exactions sur les populations civiles une fois la nuit tombée.
Ces chasseurs de primes recrutés par Kadet Bertin, Voho Sahi, Hubert Oulaï, Emile Guiriéoulou, le lieutenant Oulaï Delafosse, Blé Goudé et placés sous la conduite du soldat déserteur, Dogbo Blé Brunot de la Garde républicaine, ont à leur actif, à ce jour, près de 200 tués. Des exécutions sommaires sur dénonciation de militants LMP qui endeuillent chaque jour les familles ivoiriennes.
Conscients de la gravité de leur action, le sanguinaire et sadique chef rebelle et ses éléments interdisent l’accès du site du charnier. L’ONUCI et les Organisations de défense des Droits de l’Homme sont formellement interdites d’y accéder. Des soldats fortement armés sont commis à la surveillance du domaine en question. Le temps pour eux de faire disparaître toute trace du charnier. Peine perdue.
Cette fosse commune, où se putréfient en ce moment plus de soixante Ivoiriens, qui ont refusé de cautionner la dictature de Gbagbo, est sue de tous. Le monde entier est informé. Déjà, le lundi 19 décembre dernier, la division des Droits de l’Hommes de l’ONU a fait cas d’une cinquantaine de morts dans les violences post-électorales. Et tout le monde sait que ce sont les mercenaires et miliciens du rebelle Gbagbo qui en sont les auteurs. Ces actes sont même déjà suffisants pour le traduire devant la CPI.
OUATTARA Gaoussou
Une action macabre à mettre à l’actif des mercenaires angolais et libériens et des miliciens du chef rebelle Gbagbo Laurent. Défait lors de la présidentielle du 28 novembre dernier, le chef de file du mouvement rebelle LMP a jeté dans les rues de la capitale économique ivoirienne, ses chiens de guerre qui commettent des exactions sur les populations civiles une fois la nuit tombée.
Ces chasseurs de primes recrutés par Kadet Bertin, Voho Sahi, Hubert Oulaï, Emile Guiriéoulou, le lieutenant Oulaï Delafosse, Blé Goudé et placés sous la conduite du soldat déserteur, Dogbo Blé Brunot de la Garde républicaine, ont à leur actif, à ce jour, près de 200 tués. Des exécutions sommaires sur dénonciation de militants LMP qui endeuillent chaque jour les familles ivoiriennes.
Conscients de la gravité de leur action, le sanguinaire et sadique chef rebelle et ses éléments interdisent l’accès du site du charnier. L’ONUCI et les Organisations de défense des Droits de l’Homme sont formellement interdites d’y accéder. Des soldats fortement armés sont commis à la surveillance du domaine en question. Le temps pour eux de faire disparaître toute trace du charnier. Peine perdue.
Cette fosse commune, où se putréfient en ce moment plus de soixante Ivoiriens, qui ont refusé de cautionner la dictature de Gbagbo, est sue de tous. Le monde entier est informé. Déjà, le lundi 19 décembre dernier, la division des Droits de l’Hommes de l’ONU a fait cas d’une cinquantaine de morts dans les violences post-électorales. Et tout le monde sait que ce sont les mercenaires et miliciens du rebelle Gbagbo qui en sont les auteurs. Ces actes sont même déjà suffisants pour le traduire devant la CPI.
OUATTARA Gaoussou