L`Opération des Nations unies en Côte d`Ivoire (Onuci) a relevé "une baisse drastique" des exactions dans le pays au cours de la semaine écoulée, marquée par six nouveaux décès contre 173 tués la semaine précédente, a annoncé jeudi à l`AFP l`un de ses responsables.
"Nous remarquons une baisse drastique par rapport à la semaine qui allait
du 16 au 23" décembre, a déclaré à la presse Simon Munzu, directeur de la
division des droits de l`homme de l`Opération des Nations unies en Côte
d`Ivoire (Onuci).
"Pour la semaine écoulée, nous avons enregistré juste six cas de décès,
trois disparitions, vingt enlèvements ou arrestations et onze cas de blessés",
a-t-il indiqué en précisant bien qu`il s`agissait de "chiffres relatifs aux
cas que nous avons pu vérifier".
"Sur la base de ces statistiques, la situation semble s`améliorer", a
ajouté M. Munzu.
Il y a eu au total 179 personnes tuées depuis le jeudi 16 décembre, jour
d`une marche avortée des partisans d`Alassane Ouattara, un des deux présidents
ivoiriens proclamés, pour prendre la télévision publique RTI, bastion de son
rival Laurent Gbagbo.
Cette marche avait été réprimée dans le sang par les Forces de défense et
de sécurité (FDS) loyales à M. Gbagbo.
Selon son ministre de l`Intérieur, Emile Guiriéoulou, les violences ont
provoqué la mort de 53 personnes dont 14 membres des FDS depuis le second tour
de la présidentielle du 28 novembre.
"Nous remarquons une baisse drastique par rapport à la semaine qui allait
du 16 au 23" décembre, a déclaré à la presse Simon Munzu, directeur de la
division des droits de l`homme de l`Opération des Nations unies en Côte
d`Ivoire (Onuci).
"Pour la semaine écoulée, nous avons enregistré juste six cas de décès,
trois disparitions, vingt enlèvements ou arrestations et onze cas de blessés",
a-t-il indiqué en précisant bien qu`il s`agissait de "chiffres relatifs aux
cas que nous avons pu vérifier".
"Sur la base de ces statistiques, la situation semble s`améliorer", a
ajouté M. Munzu.
Il y a eu au total 179 personnes tuées depuis le jeudi 16 décembre, jour
d`une marche avortée des partisans d`Alassane Ouattara, un des deux présidents
ivoiriens proclamés, pour prendre la télévision publique RTI, bastion de son
rival Laurent Gbagbo.
Cette marche avait été réprimée dans le sang par les Forces de défense et
de sécurité (FDS) loyales à M. Gbagbo.
Selon son ministre de l`Intérieur, Emile Guiriéoulou, les violences ont
provoqué la mort de 53 personnes dont 14 membres des FDS depuis le second tour
de la présidentielle du 28 novembre.