Les casques bleus de l'Onu en Côte d'Ivoire (Onuci) font leur possible pour pouvoir accéder aux sites où auraient été commises des atteintes aux droits de l'homme, ont annoncé samedi les Nations unies. Lire la suite l'article
Le pays ouest-africain a replongé dans la crise après le deuxième tour de l'élection présidentielle, le 28 novembre. Contestée par le président sortant, Laurent Gbagbo, l'élection de l'opposant Alassane Ouattara, proclamée par la commission électorale, a été reconnue par l'Assemblée générale des Nations unies.
«Le secrétaire général (Ban Ki-moon) a déclaré au président Ouattara qu'il était alarmé par les informations faisant état de violations extrêmes des droits de l'homme», a déclaré le porte-parole de l'Onu, Martin Nesirky, rendant compte d'une discussion téléphonique entre les deux hommes.
«Il a dit que l'Onuci avait reçu pour instruction de faire tout ce qui est possible pour obtenir un accès aux zones concernées tant à des fins de prévention que pour enquêter et documenter les violations (commises), de sorte que les responsables répondent de leurs actes», a-t-il ajouté.
Le pays ouest-africain a replongé dans la crise après le deuxième tour de l'élection présidentielle, le 28 novembre. Contestée par le président sortant, Laurent Gbagbo, l'élection de l'opposant Alassane Ouattara, proclamée par la commission électorale, a été reconnue par l'Assemblée générale des Nations unies.
«Le secrétaire général (Ban Ki-moon) a déclaré au président Ouattara qu'il était alarmé par les informations faisant état de violations extrêmes des droits de l'homme», a déclaré le porte-parole de l'Onu, Martin Nesirky, rendant compte d'une discussion téléphonique entre les deux hommes.
«Il a dit que l'Onuci avait reçu pour instruction de faire tout ce qui est possible pour obtenir un accès aux zones concernées tant à des fins de prévention que pour enquêter et documenter les violations (commises), de sorte que les responsables répondent de leurs actes», a-t-il ajouté.