Plusieurs personnes ont été interpellées mardi à Abidjan après une descente de la police, fidèle au régime de Laurent Gbagbo, au siège d`un parti soutenant son rival Alassane Ouattara, a-t-on appris de sources concordantes.
Des policiers ont fait irruption tôt mardi matin au siège du Parti démocratique de Côte d`Ivoire (PDCI), affirmant avoir appris l`existence "de caches d`armes", a déclaré à l`AFP le général Gaston Ouassénan Koné, un responsable du PDCI, confirmant les propos de témoins interrogés par l`AFP.
Les policiers "ont défoncé toutes les portes, ils n`ont trouvé aucune arme", a poursuivi le général Koné, qui est également responsable de la sécurité du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP, coalition pro-Ouattara).
"Ils ont lancé une grenade lacrymogène, ils ont tiré, il y a eu des blessés" qu`ils ont évacués eux-mêmes, et ils ont "pris des jeunes" assurant la surveillance du siège du parti, a-t-il ajouté, disant se baser sur des témoignages recueillis à son arrivée sur les lieux après les faits.
Il a indiqué ne pas savoir si les blessures ont été provoquées par les forces de l`ordre ou "la bousculade, parce qu`il y a eu une cohue".
Joint par l`AFP, un responsable de la police a confirmé sous couvert d`anonymat une perquisition menée "par des policiers en civils", ainsi que les arrestations, mais a démenti qu`il y ait eu des blessés.
Les policiers ont arrêté plusieurs personnes en possession de "kalachnikov et d`autres armes d`assaut avec des munitions", a-t-il affirmé, sans plus de précision.
"Il n`y a pas eu de blessé, pas de mort et ils n`ont pas tiré sur les gens. Les seuls tirs qu`il y a eu étaient des tirs de sommation, des tirs en l`air de pistolet automatique", a-t-il précisé.
Des policiers ont fait irruption tôt mardi matin au siège du Parti démocratique de Côte d`Ivoire (PDCI), affirmant avoir appris l`existence "de caches d`armes", a déclaré à l`AFP le général Gaston Ouassénan Koné, un responsable du PDCI, confirmant les propos de témoins interrogés par l`AFP.
Les policiers "ont défoncé toutes les portes, ils n`ont trouvé aucune arme", a poursuivi le général Koné, qui est également responsable de la sécurité du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP, coalition pro-Ouattara).
"Ils ont lancé une grenade lacrymogène, ils ont tiré, il y a eu des blessés" qu`ils ont évacués eux-mêmes, et ils ont "pris des jeunes" assurant la surveillance du siège du parti, a-t-il ajouté, disant se baser sur des témoignages recueillis à son arrivée sur les lieux après les faits.
Il a indiqué ne pas savoir si les blessures ont été provoquées par les forces de l`ordre ou "la bousculade, parce qu`il y a eu une cohue".
Joint par l`AFP, un responsable de la police a confirmé sous couvert d`anonymat une perquisition menée "par des policiers en civils", ainsi que les arrestations, mais a démenti qu`il y ait eu des blessés.
Les policiers ont arrêté plusieurs personnes en possession de "kalachnikov et d`autres armes d`assaut avec des munitions", a-t-il affirmé, sans plus de précision.
"Il n`y a pas eu de blessé, pas de mort et ils n`ont pas tiré sur les gens. Les seuls tirs qu`il y a eu étaient des tirs de sommation, des tirs en l`air de pistolet automatique", a-t-il précisé.