Toulouse7.com - Jeudi, lors d’une conférence de presse à Abidjan, le Directeur de la Division des Droits de l’Homme de l’ONU en Côte d’Ivoire (ONUCI), Simon Munzu, a indiqué que l’ONUCI avait dénombré depuis le 30 décembre 2010, « 31 nouveaux cas de personnes décédées dans des circonstances susceptibles d’être qualifiées d’atteintes au droit à la vie ».
« Dix sept nouveaux cas de disparitions forcées dans les quartiers d’Abidjan ont également été recensés », a t il ajouté, précisant que « ces informations ont été recueillies à partir du Centre d’appels mis en place par l’ONUCI, qui a enregistré 204 appels sur 316 cas de violations des Droits de l’Homme en une semaine ».
Parmi les exactions relevées par le Comité de suivi, Simon Munzu a notamment cité la récente descente des Forces de défense et de sécurité (FDS) au siège des partis politiques PDCI et RHDP. Selon un communiqué de l’ONUCI, elle aurait fait « au moins un mort et entre 35 et 80 personnes auraient été arrêtées ». « Ces personnes auraient été amenées à la Préfecture de police d’Abidjan et nous ne sommes pas sûrs de leur sort », a souligné Simon Munzu.
« L’ONUCI continuera à travailler parce que notre action va dans l’intérêt des populations ivoiriennes et jusqu’à preuve du contraire celles ci continuent à apprécier ce que nous faisons, même dans le contexte actuel où les relations entre la mission et certains politiques semblent tendues », a conclu le responsable des Droits de l’Homme de la mission onusienne.
« Dix sept nouveaux cas de disparitions forcées dans les quartiers d’Abidjan ont également été recensés », a t il ajouté, précisant que « ces informations ont été recueillies à partir du Centre d’appels mis en place par l’ONUCI, qui a enregistré 204 appels sur 316 cas de violations des Droits de l’Homme en une semaine ».
Parmi les exactions relevées par le Comité de suivi, Simon Munzu a notamment cité la récente descente des Forces de défense et de sécurité (FDS) au siège des partis politiques PDCI et RHDP. Selon un communiqué de l’ONUCI, elle aurait fait « au moins un mort et entre 35 et 80 personnes auraient été arrêtées ». « Ces personnes auraient été amenées à la Préfecture de police d’Abidjan et nous ne sommes pas sûrs de leur sort », a souligné Simon Munzu.
« L’ONUCI continuera à travailler parce que notre action va dans l’intérêt des populations ivoiriennes et jusqu’à preuve du contraire celles ci continuent à apprécier ce que nous faisons, même dans le contexte actuel où les relations entre la mission et certains politiques semblent tendues », a conclu le responsable des Droits de l’Homme de la mission onusienne.