Honte à ces criminels qui croient atteindre le summum de la joie et du plaisir, en associant le sexe à leurs attaques. Méprisant ainsi, des meurtrissures, physiques et morales, qu’ils laissent sur leurs victimes, au passage. C’est ce double délit que des quidams ont commis au domicile d’un journaliste, en fonction dans un grand groupe de presse de la place. Les faits ont eu lieu le mercredi dernier 12 janvier à la Riviéra-Golf, dans la commune de Cocody. A en croire en effet les informations reçues de cette attaque criminelle, c’est au nombre de deux que les malfaiteurs débarquent au domicile du journaliste. Domicile situé dans un immeuble. Rapidement, les armes à feu en leur possession leur confèrent une puissance incontestable. Ils neutralisent donc la maisonnée, avec à sa tête le maître des lieux répondant aux initiales de A.K. Aussitôt après, pendant que l’un d’eux tient en respect toutes les victimes, l’autre
s’emploie à fouiller les pièces du logis. Lorsqu’il rejoint son acolyte au bout de quelque temps, il n’a pas les mains vides. En sa possession, la somme de 60.000 F.Cfa et des bijoux d’une valeur marchande qui, selon nos sources, est bien loin d’être négligeable. A ce butin, les fripons ajoutent deux téléphones-portables. Le journaliste pense alors, que c’en est fini de ses souffrances. Erreur. Les scélérats n’ont pas l’intention de s’en aller tout de suite. Il y a bien autre chose qui préoccupe ces sinistres individus. Et qu’est-ce qui peut donc bien les préoccuper ? On ne tarde pas à le comprendre, lorsqu’ils pointent leurs armes à feu sur Mlle N.M. C’est la fille de ménage de A.K. Si ces ignobles individus pointent leurs armes à feu sur la fille de ménage, c’est pour exiger d’elle, son bien le plus précieux : son corps. Son corps renfermant de toute évidence, toute sa dignité de femme. Et là, à tour
de rôle, les bandits violent la pauvre dont les plaintes font frémir à la fois de colère et de pitié, son infortuné patron. Patron qui ne peut lui venir en aide, au point d’exposer sa vie. La libido « apaisée », les deux malfaiteurs quittent enfin les lieux pour débouler dans la nature. Quand l’alerte est donnée, il est trop tard. Ils sont déjà bien loin. Un peu plus tard, le journaliste se rend directement à la police, où il porte les faits à la connaissance des agents des forces de l’ordre. Puis tout de suite après, il porte une plainte régulière contre inconnus. La police, selon les informations, est donc à pied d’œuvre pour débusquer le duo de fripouilles. En attendant, la pauvre fille de ménage est complètement meurtrie dans sa chair et dans son âme. Vraiment dommage que des damnés souillent ainsi l’intimité de jeunes filles, qu’ils exposent, par ailleurs, à des maladies. Vu que ces mauvais garçons, en
général, n’ont que faire d’un préservatif. Et c’est là, tout le drame.
KIKIE Ahou Nazaire
s’emploie à fouiller les pièces du logis. Lorsqu’il rejoint son acolyte au bout de quelque temps, il n’a pas les mains vides. En sa possession, la somme de 60.000 F.Cfa et des bijoux d’une valeur marchande qui, selon nos sources, est bien loin d’être négligeable. A ce butin, les fripons ajoutent deux téléphones-portables. Le journaliste pense alors, que c’en est fini de ses souffrances. Erreur. Les scélérats n’ont pas l’intention de s’en aller tout de suite. Il y a bien autre chose qui préoccupe ces sinistres individus. Et qu’est-ce qui peut donc bien les préoccuper ? On ne tarde pas à le comprendre, lorsqu’ils pointent leurs armes à feu sur Mlle N.M. C’est la fille de ménage de A.K. Si ces ignobles individus pointent leurs armes à feu sur la fille de ménage, c’est pour exiger d’elle, son bien le plus précieux : son corps. Son corps renfermant de toute évidence, toute sa dignité de femme. Et là, à tour
de rôle, les bandits violent la pauvre dont les plaintes font frémir à la fois de colère et de pitié, son infortuné patron. Patron qui ne peut lui venir en aide, au point d’exposer sa vie. La libido « apaisée », les deux malfaiteurs quittent enfin les lieux pour débouler dans la nature. Quand l’alerte est donnée, il est trop tard. Ils sont déjà bien loin. Un peu plus tard, le journaliste se rend directement à la police, où il porte les faits à la connaissance des agents des forces de l’ordre. Puis tout de suite après, il porte une plainte régulière contre inconnus. La police, selon les informations, est donc à pied d’œuvre pour débusquer le duo de fripouilles. En attendant, la pauvre fille de ménage est complètement meurtrie dans sa chair et dans son âme. Vraiment dommage que des damnés souillent ainsi l’intimité de jeunes filles, qu’ils exposent, par ailleurs, à des maladies. Vu que ces mauvais garçons, en
général, n’ont que faire d’un préservatif. Et c’est là, tout le drame.
KIKIE Ahou Nazaire
