"Honte à la Cedeao, honte à la France, honte aux Etats-Unis… Alassane est un chef bandit. Sarkozy est un diable…"
Ces paroles et bien d'autres, d'une férocité inouïe, digne des vampires buveurs de sang humain, ont été prononcées par Simone Ehivet Gbagbo, épouse du président usurpateur du scrutin du 28 novembre 2010. C’était le samedi 15 janvier 2011, dans le cadre des activités du Cnrd, au Palais de la culture à Treichville.
Que Mme Simone Gbagbo veuille aider son époux à conserver le pouvoir usurpé, soit. Mais, qu'elle aille étaler aux yeux du monde toute sa laideur morale, elle qui se dit pratiquante et fervente chrétienne ; qu'elle aille étaler cette indignité funeste qui éclabousse, somme toute, la Côte d'Ivoire, voilà qui heurte ma fibre de citoyen. En effet, voici une dame qui a été première dame de ce pays pendant 10 longues années et qui lutte désespérément pour le demeurer et qui a perdu toute humanité maternelle. Des Ivoiriens sont tombés à Duékoué et à Lakota; leurs corps n'ont pas encore reçu de sépulture. Des Ivoiriens sont morts à Abobo. Des agents des Forces de l'ordre, qui défendaient bec et ongles, le pouvoir de son époux, sont morts. Ils attendent d'être enterrés. Et tout ce que Simone Ehivet Gbagbo a trouvé de bon à faire, c'est d'enjamber les corps de tous ces morts et de se livrer à un délire de danse. Cette lubie nécromancienne sonne, assurément, comme les funérailles d'un départ inéluctable. Et si c'était la rumeur qui avait envahi le tout Abidjan, à savoir la mort d'Alassane Ouattara, œuvre de qui nous savons, qui faisait danser Simone Gbagbo, se délectant ainsi à la manière d'un croquemort ?
Honte à vous, hyènes, sans cœur, assoiffées de charognes !
Ces paroles et bien d'autres, d'une férocité inouïe, digne des vampires buveurs de sang humain, ont été prononcées par Simone Ehivet Gbagbo, épouse du président usurpateur du scrutin du 28 novembre 2010. C’était le samedi 15 janvier 2011, dans le cadre des activités du Cnrd, au Palais de la culture à Treichville.
Que Mme Simone Gbagbo veuille aider son époux à conserver le pouvoir usurpé, soit. Mais, qu'elle aille étaler aux yeux du monde toute sa laideur morale, elle qui se dit pratiquante et fervente chrétienne ; qu'elle aille étaler cette indignité funeste qui éclabousse, somme toute, la Côte d'Ivoire, voilà qui heurte ma fibre de citoyen. En effet, voici une dame qui a été première dame de ce pays pendant 10 longues années et qui lutte désespérément pour le demeurer et qui a perdu toute humanité maternelle. Des Ivoiriens sont tombés à Duékoué et à Lakota; leurs corps n'ont pas encore reçu de sépulture. Des Ivoiriens sont morts à Abobo. Des agents des Forces de l'ordre, qui défendaient bec et ongles, le pouvoir de son époux, sont morts. Ils attendent d'être enterrés. Et tout ce que Simone Ehivet Gbagbo a trouvé de bon à faire, c'est d'enjamber les corps de tous ces morts et de se livrer à un délire de danse. Cette lubie nécromancienne sonne, assurément, comme les funérailles d'un départ inéluctable. Et si c'était la rumeur qui avait envahi le tout Abidjan, à savoir la mort d'Alassane Ouattara, œuvre de qui nous savons, qui faisait danser Simone Gbagbo, se délectant ainsi à la manière d'un croquemort ?
Honte à vous, hyènes, sans cœur, assoiffées de charognes !