Le président français Nicolas Sarkozy s'est déclaré hostile à une intervention militaire en Côte d'Ivoire lundi, préférant "les sanctions, la politique et la diplomatie" pour régler la crise que connaît ce pays.
"Il y a les sanctions, il y a la politique et la diplomatie et c'est comme cela qu'on fait avancer les choses", a-t-il estimé lors de sa conférence de presse de début d'année à l'Elysée. Pour l'Iran mais aussi pour la Côte d'Ivoire, a-t-il ajouté, "la France, c'est sa politique, est toujours extraordinairement réservée sur le principe d'une intervention militaire".
Depuis la fin novembre, le président ivoirien sortant, Laurent Gbagbo, refuse de céder la place à son adversaire Alassane Ouattara, reconnu comme le vainqueur de l'élection présidentielle de novembre par la communauté internationale, y compris les organisations africaines.
"Pour la France, les choses sont claires, la Côte d'Ivoire a un seul gouvernement légal et légitime: celui que le peuple ivoirien s'est choisi, qui est reconnu par les Nations unies et toutes les organisations africaines", a lancé M. Sarkozy lundi.
Pour marquer ce soutien, il a souligné que le nouvel ambassadeur ivoirien, Ali Coulibaly, se trouvait dans la salle.
"Je crois à l'impact des sanctions", a insisté le président français, estimant que "dans le monde d'aujourd'hui, personne ne peut rester contre la communauté internationale".
Et de rappeler qu'"il y a quelque chose qui a progressé avec la mondialisation, c'est les juridictions internationales, c'est le fait que tout dictateur sait que le jour où il sera poursuivi, il devra rendre des comptes". "Il n'y a pas d'endroit dans le monde où l'on puisse se dérober à la justice", a insisté M. Sarkozy.
"Il y a les sanctions, il y a la politique et la diplomatie et c'est comme cela qu'on fait avancer les choses", a-t-il estimé lors de sa conférence de presse de début d'année à l'Elysée. Pour l'Iran mais aussi pour la Côte d'Ivoire, a-t-il ajouté, "la France, c'est sa politique, est toujours extraordinairement réservée sur le principe d'une intervention militaire".
Depuis la fin novembre, le président ivoirien sortant, Laurent Gbagbo, refuse de céder la place à son adversaire Alassane Ouattara, reconnu comme le vainqueur de l'élection présidentielle de novembre par la communauté internationale, y compris les organisations africaines.
"Pour la France, les choses sont claires, la Côte d'Ivoire a un seul gouvernement légal et légitime: celui que le peuple ivoirien s'est choisi, qui est reconnu par les Nations unies et toutes les organisations africaines", a lancé M. Sarkozy lundi.
Pour marquer ce soutien, il a souligné que le nouvel ambassadeur ivoirien, Ali Coulibaly, se trouvait dans la salle.
"Je crois à l'impact des sanctions", a insisté le président français, estimant que "dans le monde d'aujourd'hui, personne ne peut rester contre la communauté internationale".
Et de rappeler qu'"il y a quelque chose qui a progressé avec la mondialisation, c'est les juridictions internationales, c'est le fait que tout dictateur sait que le jour où il sera poursuivi, il devra rendre des comptes". "Il n'y a pas d'endroit dans le monde où l'on puisse se dérober à la justice", a insisté M. Sarkozy.