Les Forces Nouvelles ont appris avec surprise la coupure de l`électricité et de l`eau en zone Centre, Nord et Ouest dans la nuit du mercredi 26 au jeudi 27 janvier 2011 ; renseignement pris, et suite au communiqué de la Compagnie ivoirienne de l`électricité, nous avons su que celle-ci avait fait l`objet de réquisition de son centre de « dispatching » par Laurent Gbagbo et son gouvernement factice, sous le prétexte d`une prétendue « raisons de sécurité nationale».
Les Forces Nouvelles n`en sont pas surprises et constatent comme tous les Ivoiriens que monsieur Laurent Gbagbo montre la face hideuse de ce qu`il a toujours été, à savoir un homme doté de peu de scrupules et qui est prêt à tout pour conserver le pouvoir qu`il a usurpé, dans un intérêt purement mercantile, clanique et égoïste.
L`acte de brigandage auquel il s`est adonné en réquisitionnant le centre de la Compagnie ivoirienne de l`électricité, doublé du braquage de l`agence d`Abidjan de la Bceao, montre si besoin en était encore que ce monsieur ne méritait pas d`être à la tête de ce grand pays, n`eut été les circonstances que tout le monde sait.
Les Forces Nouvelles indiquent que la coupure abusive de l`électricité et de l`eau en zone CNO est une violation inacceptable des droits de l`Homme les plus élémentaires, tel que celui d`être en droit de bénéficier des services minima de base indispensables à la vie humaine.
Les Forces Nouvelles attirent l`attention de la communauté internationale, en particulier, la Cedeao, l`Union Africaine sur cette situation ubuesque, interpellent les organisations et associations nationales et internationales de défense des droits de l`Homme sur cette violation des droits humains.
Les Forces Nouvelles relèvent que depuis l`usurpation du pouvoir d`Etat par Laurent Gbagbo, ses sbires que sont certains éléments de la garde républicaine de Dogbo Blé Bruno, du CeCoS du général Guiai Bi Poin, de la Marine de Faussignau Vagba, appuyés par les miliciens libériens et mercenaires angolais ont lourdement endeuillé la Côte d`Ivoire.
On peut dire sans conteste que le bilan humain de leurs tueries est très lourd et à la date d`aujourd`hui, on peut l`établir comme suit:
-480 tués dont certains dans les commissariats et à la préfecture de police, y compris dans les charniers ;
-1.071 blessés, dont 181 graves ;
-825 arrestations ;
-Des dizaines de disparus ;
- Plusieurs Hospitalisés ;
-Des cas d`enlèvements nocturnes et de viols massifs ;
-Six charniers (06) identifiés et situés à la forêt du Banco (environ 60 morts), à N`dotré (environ 60 morts), à Akéikoi (environ 80 morts), à la morgue d`Anyama (environ 40 morts), à Biabou (vers le camp des miliciens, environ 40 morts) et à Issia (environ 40 morts).
Les Forces Nouvelles rappellent que sous d`autres cieux, à peine était atteint le décompte macabre de 67 morts, que le pouvoir a changé de camp au profit du peuple.
En Côte d`Ivoire, faut-il atteindre le chiffre de 2000 morts, à savoir « 1000 morts à gauche et 1000 morts à droite » comme l`a indiqué avec cynisme le dictateur Laurent Gbagbo pour qu`enfin la voie du vaillant peuple ivoirien, qui a choisi sans conteste Alassane Ouattara en qualité de Président de la République, soit prise en compte ?
La vie de Laurent Gbagbo est-elle plus importante que celle des malheureux citoyens tombés sous les balles assassines de ses suppôts ?
Pour les Forces Nouvelles la réponse à ces interrogations est assurément non.
En conséquence, les Forces Nouvelles estiment qu`au nom du sacro-saint respect du droit à la vie et de l`ingérence humanitaire, Laurent Gbagbo et sa clique doivent être extirpés afin que le peuple de Côte d`Ivoire retrouve la sérénité et ne craigne plus enfin pour sa vie.
Les Forces Nouvelles invitent les populations à rester déterminées, à croire à la force de leur persévérance et leur rappellent que la légitimité dont toute institution peut se targuer n`émane que de leur volonté souveraine, de sorte que le choix d`installer au pouvoir d`Etat SEM Alassane Ouattara et son Premier ministre ne peut être que respecté et le sera inéluctablement.
Fait à Bouaké, le 27 janvier 2011
Pour les Forces nouvelles
La Porte-parole
Me Affoussy BAMBA
Les Forces Nouvelles n`en sont pas surprises et constatent comme tous les Ivoiriens que monsieur Laurent Gbagbo montre la face hideuse de ce qu`il a toujours été, à savoir un homme doté de peu de scrupules et qui est prêt à tout pour conserver le pouvoir qu`il a usurpé, dans un intérêt purement mercantile, clanique et égoïste.
L`acte de brigandage auquel il s`est adonné en réquisitionnant le centre de la Compagnie ivoirienne de l`électricité, doublé du braquage de l`agence d`Abidjan de la Bceao, montre si besoin en était encore que ce monsieur ne méritait pas d`être à la tête de ce grand pays, n`eut été les circonstances que tout le monde sait.
Les Forces Nouvelles indiquent que la coupure abusive de l`électricité et de l`eau en zone CNO est une violation inacceptable des droits de l`Homme les plus élémentaires, tel que celui d`être en droit de bénéficier des services minima de base indispensables à la vie humaine.
Les Forces Nouvelles attirent l`attention de la communauté internationale, en particulier, la Cedeao, l`Union Africaine sur cette situation ubuesque, interpellent les organisations et associations nationales et internationales de défense des droits de l`Homme sur cette violation des droits humains.
Les Forces Nouvelles relèvent que depuis l`usurpation du pouvoir d`Etat par Laurent Gbagbo, ses sbires que sont certains éléments de la garde républicaine de Dogbo Blé Bruno, du CeCoS du général Guiai Bi Poin, de la Marine de Faussignau Vagba, appuyés par les miliciens libériens et mercenaires angolais ont lourdement endeuillé la Côte d`Ivoire.
On peut dire sans conteste que le bilan humain de leurs tueries est très lourd et à la date d`aujourd`hui, on peut l`établir comme suit:
-480 tués dont certains dans les commissariats et à la préfecture de police, y compris dans les charniers ;
-1.071 blessés, dont 181 graves ;
-825 arrestations ;
-Des dizaines de disparus ;
- Plusieurs Hospitalisés ;
-Des cas d`enlèvements nocturnes et de viols massifs ;
-Six charniers (06) identifiés et situés à la forêt du Banco (environ 60 morts), à N`dotré (environ 60 morts), à Akéikoi (environ 80 morts), à la morgue d`Anyama (environ 40 morts), à Biabou (vers le camp des miliciens, environ 40 morts) et à Issia (environ 40 morts).
Les Forces Nouvelles rappellent que sous d`autres cieux, à peine était atteint le décompte macabre de 67 morts, que le pouvoir a changé de camp au profit du peuple.
En Côte d`Ivoire, faut-il atteindre le chiffre de 2000 morts, à savoir « 1000 morts à gauche et 1000 morts à droite » comme l`a indiqué avec cynisme le dictateur Laurent Gbagbo pour qu`enfin la voie du vaillant peuple ivoirien, qui a choisi sans conteste Alassane Ouattara en qualité de Président de la République, soit prise en compte ?
La vie de Laurent Gbagbo est-elle plus importante que celle des malheureux citoyens tombés sous les balles assassines de ses suppôts ?
Pour les Forces Nouvelles la réponse à ces interrogations est assurément non.
En conséquence, les Forces Nouvelles estiment qu`au nom du sacro-saint respect du droit à la vie et de l`ingérence humanitaire, Laurent Gbagbo et sa clique doivent être extirpés afin que le peuple de Côte d`Ivoire retrouve la sérénité et ne craigne plus enfin pour sa vie.
Les Forces Nouvelles invitent les populations à rester déterminées, à croire à la force de leur persévérance et leur rappellent que la légitimité dont toute institution peut se targuer n`émane que de leur volonté souveraine, de sorte que le choix d`installer au pouvoir d`Etat SEM Alassane Ouattara et son Premier ministre ne peut être que respecté et le sera inéluctablement.
Fait à Bouaké, le 27 janvier 2011
Pour les Forces nouvelles
La Porte-parole
Me Affoussy BAMBA