La convergence nationale des jeunes démocrates (CNAJED) par la voix de son secrétaire général M. Soro Pégabila a battu en brèche la volonté de l'Union Africaine par la mise en route d'un panel de chef d'Etat Africain. En revanche, il estime que face cette situation il ne reste que les Forces Nouvelles qui est une armée républicaine pour faire appliquer la volonté des ivoiriens. Un large extrait de la déclaration du SG de la CONAJED lors d'un point de presse qu'il a animé hier lundi à leur siège.
« Nous ne pouvons plus permettre que l'on donne le temps d'un mois à Gbagbo pour donner l'occasion de recruter des miliciens et des mercenaires qu'il mettra aux trousses des populations. Nous demandons que l'Union Africaine revoie sa copie ou au demeurant, nous demandons à ce que la CEDEAO prennent ses responsabilités. Parce que la CEDEAO avait décidé que si les médiations des trois présidents qui sont déjà à Abidjan ne portaient pas ses fruits, il lui revenait le droit de faire recours à l'option militaire. Aujourd'hui nous attendons l'option militaire et il n'y a que cette option qui pourra faire partir Laurent Gbagbo. Il est clair dans nos esprits qu'il faut aujourd'hui avoir une bonne dose de mauvaise foi pour continuer à dire que la médiation pourra faire partir Laurent Gbagbo. Donc pour nous, il n'est pas acceptable et nous disons donc à la CEDEAO de prendre ses responsabilités. Autrement, jusqu'au jeudi, si nous constatons que la CEDEAO ne se prononce pas, nous nous réservons le droit, en tant qu'Ivoiriens d'aller voir l'armée républicaine de Côte d'Ivoire que sont les Forces Nouvelles, par ce que nous disons que les FDS sont disqualifiées en abandonnant la mission qui était la leur, celle de protéger la république. Elles ont décidé désormais de se mettre à la solde d'un individu Laurent Gbagbo et sont devenus à cet effet comme des milices. Et l'armée qui soutien la légalité c'est les Forces Nouvelles et des FDS et des gendarmes. Donc, nous leur demanderons d'aller libérer la Côte d'Ivoire et permettre au Président Alassane Ouattara de prendre officiellement fonction. Et nous donnons jusqu'à jeudi pour aller manifester devant l'état major des Forces Nouvelles pour qu'elles partent Abidjan pour faire respecter la volonté des ivoiriens ». MI
« Nous ne pouvons plus permettre que l'on donne le temps d'un mois à Gbagbo pour donner l'occasion de recruter des miliciens et des mercenaires qu'il mettra aux trousses des populations. Nous demandons que l'Union Africaine revoie sa copie ou au demeurant, nous demandons à ce que la CEDEAO prennent ses responsabilités. Parce que la CEDEAO avait décidé que si les médiations des trois présidents qui sont déjà à Abidjan ne portaient pas ses fruits, il lui revenait le droit de faire recours à l'option militaire. Aujourd'hui nous attendons l'option militaire et il n'y a que cette option qui pourra faire partir Laurent Gbagbo. Il est clair dans nos esprits qu'il faut aujourd'hui avoir une bonne dose de mauvaise foi pour continuer à dire que la médiation pourra faire partir Laurent Gbagbo. Donc pour nous, il n'est pas acceptable et nous disons donc à la CEDEAO de prendre ses responsabilités. Autrement, jusqu'au jeudi, si nous constatons que la CEDEAO ne se prononce pas, nous nous réservons le droit, en tant qu'Ivoiriens d'aller voir l'armée républicaine de Côte d'Ivoire que sont les Forces Nouvelles, par ce que nous disons que les FDS sont disqualifiées en abandonnant la mission qui était la leur, celle de protéger la république. Elles ont décidé désormais de se mettre à la solde d'un individu Laurent Gbagbo et sont devenus à cet effet comme des milices. Et l'armée qui soutien la légalité c'est les Forces Nouvelles et des FDS et des gendarmes. Donc, nous leur demanderons d'aller libérer la Côte d'Ivoire et permettre au Président Alassane Ouattara de prendre officiellement fonction. Et nous donnons jusqu'à jeudi pour aller manifester devant l'état major des Forces Nouvelles pour qu'elles partent Abidjan pour faire respecter la volonté des ivoiriens ». MI